Le charivari (11.1842)

LORENT7,

60 vignettes par

M. de BALZAC

— HUBERT et Comp., place de la Bourse

un vieux Soldat, et recueillie par

i mmnnuw ïïfilTZR!!. RT PAULIN, rue de Seine, 33

L'on s'emparede Napoléon par trahison, les An
glais le clouent dans une île déserte de la
grande mer. sur un rocher élevéde
dix mille pieds au-dessus du
monde.

r-là un ballon est parti de Paris
r le'dire à Home, et ce bal-
lon a fait le chemin en
un jour.

à Montenotte

Qui fut dit fut fait, lin passant
sur la mer nous prenons
Malte comme une
orange.

*ir»ai r~.iiiffis

Alors le Grand-Turc, l'Asie, l'Afrique, ont
recours à la magie, et nous envoient
un démon nommé le Mody ,
soupçonné d'être descen-
du du ciel...

Les sentinelles le voyaient toujours
aller et venir.

| avait eu dans sa boule de conquérir la lvilie;
il aurait fallu s'arranger pour ça , fane . •
ses sacs, et grimper.

Dans ce temps-là un bon grenadier ne durai! pas
plus de six mois.

-mêmes se sorti rendus (\p;
tirs pour le (len\ièfae volu»?
î expédition.

Paulin, leurs honorables ti
razia buissonniero9 l'«»
treiulre quelque chose...."

Ivnmii, leur prend leurs canons, vivres, argent, muni
ti<|ns, tout ce qu'ils avaient de bon à prendre, vous
4les jette à l'eau, les bat sur les montagnes,
■ les moi (I dans l'air, les dévore sur la terre,
^ 4 et les fouaille partout.

ais lui brûlent sa Hotte à la bataille d'Aboukir
•ar ils ne savaient quoi s'inventer pour
nous contrarier.

1"u caporal de la garde
une curiosité

Fieliiro, et la cavalerie, donc

Napoléon, qui était un bon homme,
les avait nourris d'or, ils de-
venaient grasà lard qu'ils
ne voulaient plus
in relier.

Voyant cela, se disent : «Voilà un pèlerin qui
paraît prendre ses mots d'ordre
dans le ciel.

MaisnEmpereurnous revient
avi (les onscrits, et de
conscrits !

^oguelat est ici le piéton de la poste

Le poil loin nier est arrivé à Paris en
'mendiant son pain.