Le charivari (11.1842)

r par Bicêtre.

i liberté!
j'aime,
ne!

e liberté!
amunauié!

1ISS1M lie «Elu,

lis FIMMtS DE PARIS.

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out le monde sait qu'j|„
un bureau de Vespritï

Ce bureau a, entreaW.

s ions , celle de Iran®'

aux déparlemens, dans

pureté native, les subli:
morceaux d'éloquence^
tés parles DémosthènesÉ;
Cicérons du ministère,
O conçoit aisément qu'il6e,
se, entre les députés du#
tre et les jeunes lions
dudit bureau, un échange des
ts: les premiers sont flattés de
leurs harangues ; les seconds vis
, et, dans l'admirable système
ous régit, on sait parfaitement!
les places, ce sont les députés p

plus naturel et en même temps
cette bonne harmonie basée sut
ambition? Cependant, les plus ta
;es, et pour preuve voici une sè
qs l'exactitude, qui s'est passée I
des couloirs du Palais-Bourbon.
1er la politique de M. Guizot dans
qui n'avait pas duré moins de m
Pendant que les centres, émerveili.
lignaient, pleuraient, s'èvanoi

se dissimulait modestement à
Tout à coup quelqu'un se (M
orable se retourne ; un lion®
présente devant lui et s inc ®

sieur, si je viens ainsi
s préoccupations; mais, ,
(La suit6 « w

21

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liiez Baujfer S: C"U.cLu Croissant 16

Inrp i'JluL ert 8: l" .

L'ARTISTE DU CIRÇUE .

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