Le charivari (11.1842)

_ se débarrasser d'un jugemeal
passion de la chasse les enj 3
jmmettre une récidive, les ^
e manqueraient pas, en vertu il
■t, de leur appliquer le f0Uel
ircan.

appel devant le tribunal supér,
-civile, qui paraît tenir éaotaJ
gobert,et surtout auxhuit cea^
'envoyer soutenir la cause patj|
avocats. Malheureusement lîf,
manans de Compiègne a BeaUv?

retard a fait prononcer coj
rmatif par défaut. La Liste-civ:
radicteurs, a pleinement comJ
ibunal d'appel,
vient d'être formée, et par Sll
se déplacer de nouveau pou,
donnance, faite par quelque b,
i fouet et du carcan les ma%
plaisirs du roi, est applicabi,
î Compiègne qui, en tirant %
i forêt, ont la maladresse de •

£kowiwrL

se fera payer cher ses deux dépk
aison. Mais la Liste-civile, quiesti
bien se faire tirer l'oreille pour >
as, nous signalons à M. Léon Dm.
i publicité s'est emparée ce mai

e journal hongrois Jelcukar qi'1
levait 280 florins à un avocat, lais
olave pour quinze jours, parce qv
:etle somme. Les juges ont appli;
istance, une loi rendue au œ

e au moyen âge, et qui existai!
qu'en Hongrie, doit être applicat.:
rdonnance Dagobert.

ÎABILLOIT.

du pavillon Marsan M. Martin
ralier de la Triste-Figure ; M. Mo;
n roi Richard.

ir de Belgique avait pris pour hi
nent de saint Vincent de Paule ;
paru, dit-on, en innocent les -

iau^s'était égaré dans sa toilette pu
ee de l'orthographe. Ce digne foni'
son tailleur de lui envoyer uncosE
marchand s'était conformé à M
pporté unjpantalon de cuir-laine{1
; de 120 francs,
i paru au bal en foreur de budge'
dy était en marchand de pomo®
■îandde Gand.

ivait profité de la circonstance
nez; il eût été difficile de c0,l':
vaient un œil faux.

\SIM. W. '11)-

, î\


Par Gavann.

GARDE CHAMPETRE

Imp d Auliert 8:

Se Venct chei Braier & CEihtenrsdeslîessms du FlfiARO àelaCARICATURE <i fin CHARIVARI fl rN Croissant N016
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