jmcns enthousiastes ,1
voix intéressées qUjH
J'iveau triomphe dumS
[ne les grands TOusic»
3nt de rabaisser le «/ .'"t
lardonnable de faire
' l'insipidité de leur pÎ rtif
riiyxiante. Il n>y a ?c»pt
es de ces messieurs C
contre Rossini un nout '
edoutable, un critiqïj®^
musicales sont des nW
len moins que deM.jï
i traite avec un snno.ù
'Jf'.et, Pour l'écraser pî
i tête les symphonies 1 rJ
teine a se relever d'un^
[.Berliozécrivent tous deu,
n'avons garde de sup£<
simplement sous |e noïï
Plume un éloge pyramj»
1e antirossinienne qu'ji ï1'
:ner lui-même. Oh non!
ime pour descendre i
ant cette hypothèse, on
Berlioz croit avoir lieu dïn
i donc ! c'est plutôt Rossini
erlioz.
ersuadés que le miroholantl
dernier est bien réellemt
tique marié, qui est encore
ner tout ce qui est doux su
e la musique de M. Berlioz
îr de Benvenuto Cellini eu
'Mo, etc., M, Janin proclameqi
îeville de M.Berhoz.—QU'0I1!
gaiement redresser une autre"»
ite h propos du Stabat. Ce
'heure, l'apparition de celle,
a été saluée par l'adiairalioi
k la considérer comme "
;ieux dans ce qu'il a de r
le plus poétique. Hélas ! tu
icoutez M. Janin (remarque
ierlioz):« Le Stabat n'estqi|,i
au plus bonne à fournir du J
tredanses et de galops i jk|
îr faire sauter les
. Voilà!
bal de Rossini (ce galopin deSI)
mde ; les plus belles damna i
i'amusent à chanter cesmtilk
emenlque le monde ainsi quel
et les plus belles dames, avals
von t s'empresser sans doule de:
•Mini et ne plus s'amuser q]
M. Berlioz. Bien du plaisir,
sul et unique musicien du:
iu, qui parcourt la gain
auraient Mozart et Beethn
e de M. Berlioz pompe el
ce que M. J. Janin prouvevpj
smde : « Be toutes les fêtes iw
retour des cendres de Sainte!
âges funèbres, de toutes ces
! tous ces vers pindariques,
al, qu'est-il resté ?...» A cettequij
peut-être qu'il est resté »!]
en n'est resté, rien ne restera,
irche funèbre de Berlioz. » i;
. enfoncé Napoléon comme1
enfoncera, ma foi, bien M
es caisses. .
dIus qu'à nous prosterner eu J
grand, et J. Janin es' s0 ™
les lignes suivantes, quc n"1
des ministres trieurs de ju»
nocence à l'épreuve du. c
, choix des juges à un accusa»
juges molinistes tous le
juges jansénistes tous les
•RJLLOXï.
du le gracieux compliment &'•
par M. Guizot, ce n'est pas l'ij
mais la botte.
puisque nous sommes atteint
roprei et délicat M. Guizot (" j
ier notre argent?
Arment qu'on ne saurait
[La suile à la 4e page]
voix intéressées qUjH
J'iveau triomphe dumS
[ne les grands TOusic»
3nt de rabaisser le «/ .'"t
lardonnable de faire
' l'insipidité de leur pÎ rtif
riiyxiante. Il n>y a ?c»pt
es de ces messieurs C
contre Rossini un nout '
edoutable, un critiqïj®^
musicales sont des nW
len moins que deM.jï
i traite avec un snno.ù
'Jf'.et, Pour l'écraser pî
i tête les symphonies 1 rJ
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[.Berliozécrivent tous deu,
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1e antirossinienne qu'ji ï1'
:ner lui-même. Oh non!
ime pour descendre i
ant cette hypothèse, on
Berlioz croit avoir lieu dïn
i donc ! c'est plutôt Rossini
erlioz.
ersuadés que le miroholantl
dernier est bien réellemt
tique marié, qui est encore
ner tout ce qui est doux su
e la musique de M. Berlioz
îr de Benvenuto Cellini eu
'Mo, etc., M, Janin proclameqi
îeville de M.Berhoz.—QU'0I1!
gaiement redresser une autre"»
ite h propos du Stabat. Ce
'heure, l'apparition de celle,
a été saluée par l'adiairalioi
k la considérer comme "
;ieux dans ce qu'il a de r
le plus poétique. Hélas ! tu
icoutez M. Janin (remarque
ierlioz):« Le Stabat n'estqi|,i
au plus bonne à fournir du J
tredanses et de galops i jk|
îr faire sauter les
. Voilà!
bal de Rossini (ce galopin deSI)
mde ; les plus belles damna i
i'amusent à chanter cesmtilk
emenlque le monde ainsi quel
et les plus belles dames, avals
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•Mini et ne plus s'amuser q]
M. Berlioz. Bien du plaisir,
sul et unique musicien du:
iu, qui parcourt la gain
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e de M. Berlioz pompe el
ce que M. J. Janin prouvevpj
smde : « Be toutes les fêtes iw
retour des cendres de Sainte!
âges funèbres, de toutes ces
! tous ces vers pindariques,
al, qu'est-il resté ?...» A cettequij
peut-être qu'il est resté »!]
en n'est resté, rien ne restera,
irche funèbre de Berlioz. » i;
. enfoncé Napoléon comme1
enfoncera, ma foi, bien M
es caisses. .
dIus qu'à nous prosterner eu J
grand, et J. Janin es' s0 ™
les lignes suivantes, quc n"1
des ministres trieurs de ju»
nocence à l'épreuve du. c
, choix des juges à un accusa»
juges molinistes tous le
juges jansénistes tous les
•RJLLOXï.
du le gracieux compliment &'•
par M. Guizot, ce n'est pas l'ij
mais la botte.
puisque nous sommes atteint
roprei et délicat M. Guizot (" j
ier notre argent?
Arment qu'on ne saurait
[La suile à la 4e page]
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Le Charivari, Souvenirs du Bal Chicard, No. 10
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Objektbeschreibung
Bildunterschrift: Titi.
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1842
Entstehungsdatum (normiert)
1837 - 1847
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 11.1842, Février (No. 32-59), S. 187
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg