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Le charivari — 11.1842

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Février (No. 32-59)
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https://doi.org/10.11588/diglit.17321#0191
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jmcns enthousiastes ,1
voix intéressées qUjH
J'iveau triomphe dumS
[ne les grands TOusic»
3nt de rabaisser le «/ .'"t

lardonnable de faire

' l'insipidité de leur pÎ rtif
riiyxiante. Il n>y a ?c»pt
es de ces messieurs C
contre Rossini un nout '
edoutable, un critiqïj®^
musicales sont des nW
len moins que deM.jï
i traite avec un snno.ù
'Jf'.et, Pour l'écraser pî
i tête les symphonies 1 rJ

teine a se relever d'un^

[.Berliozécrivent tous deu,
n'avons garde de sup£<
simplement sous |e noïï
Plume un éloge pyramj»
1e antirossinienne qu'ji ï1'
:ner lui-même. Oh non!
ime pour descendre i

ant cette hypothèse, on
Berlioz croit avoir lieu dïn
i donc ! c'est plutôt Rossini
erlioz.

ersuadés que le miroholantl
dernier est bien réellemt
tique marié, qui est encore
ner tout ce qui est doux su
e la musique de M. Berlioz
îr de Benvenuto Cellini eu
'Mo, etc., M, Janin proclameqi
îeville de M.Berhoz.—QU'0I1!
gaiement redresser une autre"»
ite h propos du Stabat. Ce
'heure, l'apparition de celle,
a été saluée par l'adiairalioi
k la considérer comme "
;ieux dans ce qu'il a de r
le plus poétique. Hélas ! tu
icoutez M. Janin (remarque
ierlioz):« Le Stabat n'estqi|,i
au plus bonne à fournir du J
tredanses et de galops i jk|
îr faire sauter les
. Voilà!
bal de Rossini (ce galopin deSI)
mde ; les plus belles damna i
i'amusent à chanter cesmtilk
emenlque le monde ainsi quel
et les plus belles dames, avals
von t s'empresser sans doule de:
•Mini et ne plus s'amuser q]
M. Berlioz. Bien du plaisir,
sul et unique musicien du:
iu, qui parcourt la gain
auraient Mozart et Beethn
e de M. Berlioz pompe el
ce que M. J. Janin prouvevpj
smde : « Be toutes les fêtes iw
retour des cendres de Sainte!
âges funèbres, de toutes ces
! tous ces vers pindariques,
al, qu'est-il resté ?...» A cettequij
peut-être qu'il est resté »!]

en n'est resté, rien ne restera,
irche funèbre de Berlioz. » i;
. enfoncé Napoléon comme1
enfoncera, ma foi, bien M
es caisses. .

dIus qu'à nous prosterner eu J

grand, et J. Janin es' s0 ™

les lignes suivantes, quc n"1
des ministres trieurs de ju»
nocence à l'épreuve du. c
, choix des juges à un accusa»

juges molinistes tous le
juges jansénistes tous les

•RJLLOXï.

du le gracieux compliment &'•
par M. Guizot, ce n'est pas l'ij

mais la botte.

puisque nous sommes atteint

roprei et délicat M. Guizot (" j

ier notre argent?

Arment qu'on ne saurait
[La suile à la 4e page]
Bildbeschreibung

Werk/Gegenstand/Objekt

Titel

Titel/Objekt
Le Charivari, Souvenirs du Bal Chicard, No. 10
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Grafik

Inschrift/Wasserzeichen

Aufbewahrung/Standort

Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Universitätsbibliothek Heidelberg
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES

Objektbeschreibung

Objektbeschreibung
Bildunterschrift: Titi.

Maß-/Formatangaben

Auflage/Druckzustand

Werktitel/Werkverzeichnis

Herstellung/Entstehung

Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Gavarni, Paul
Entstehungsdatum
um 1842
Entstehungsdatum (normiert)
1837 - 1847
Entstehungsort (GND)
Paris

Auftrag

Publikation

Fund/Ausgrabung

Provenienz

Restaurierung

Sammlung Eingang

Ausstellung

Bearbeitung/Umgestaltung

Thema/Bildinhalt

Thema/Bildinhalt (GND)
Satirische Zeitschrift
Karikatur
Frau <Motiv>
Karneval
Fastnachtskostüm
Männerkleidung
Paar <Motiv>
Junge Frau <Motiv>
Liegen <Motiv>

Literaturangabe

Rechte am Objekt

Aufnahmen/Reproduktionen

Künstler/Urheber (GND)
Universitätsbibliothek Heidelberg
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 11.1842, Février (No. 32-59), S. 187

Beziehungen

Erschließung

Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
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