Le charivari (11.1842)

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SE TEMPS

ttEionnti;,

n des mortels, riend.
x et dc plus dif(i
érir un nom et
ser à la postérité. ot
qu'en se livrant
es travaux liuér
et autres, qui ^
ères sur les champs(,
s souvent il faut se|,j,
rc dans l'avenir,
rent. Pour eux, la %
us peuvent y passer,
[innée de la gloire ki
la fumée d'un

ien il leur serait fatJ,
ider îi l'admiration fa
es, on est forcé desup,
éralement quelconque
:te de grand, c'est qu
; ou une excessive dio

pas l'avantage commoii
. gloire des belles clioa
tre réputés grands p»
s de grands hommes,!;
e du haut de leur trôœ
l'esprit, des talens mi
nés la renommée de p
lustres capitaines,
•oies et les actes lespk
unent pour eux des tilts
nés du cerveau, cliati
îtentissement dans FI»

saisissant des Somrn
burinés par notre s:
on est au camp de Bi
ad homme a envie dt
istorien) que l'empeit
mémorables : Consla!
re et mon madras,
r les porte-couronnes
is simple que d'élernt
coiffe de nuit, ele
ce cas, la bouche et l'i
u de génie,
fit à uq prince dc boit
ire, nous posons peut'
nérale. Il ne faut p®
tication et l'ingurgitai
alais, mais il est néce
s vin ou manger
alors, en avant les II
îlte k l'envi le prince
l'instar du comm1"
6tS»

3 sont là pour prouvai
i fait d'un potentat ton}1
rre de vin ou un nw
de simples hom®>
: comme un acte gr®
àinsij le souper d IM
. pas été moins célèbr»
du Pont-Neuf.-Al'
.sié depuis un siècle e
d daignant boire à la
la pomme de terre ^
vec ses grenadiers

{La suite « 'a !k'

LES FEMMES DE PARIS.

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Ckez. Batitfei-, CC Cie EcLs H. clu Croissant 16.
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LA FEMME FRE1E .

Je mange pour vivre