Le charivari (11.1842)

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le n'indique qu'Un„ .
• L'enfant nu à mi r lté|.
és dans une draperie > Cs'
du corps n'ont rien ril"n Wif
é ; on admire avec q
r sous le pouce créato,,! I
il a libre., Bichat tient.! 4
1 enfant, pour faire ,Sc0|H
ea dévoilé la Vie >\ e,%
ampe de P^hagoreS^t,
on, dont la lumière' 1%
ous nos travaux. UCfieié|
1 Vie est étendue à le™,
eau et de terrible commet
Uqaée avec un ariinfJC(isï®l»
; on dirail une deW«W
» de tristesses et de n£ d%
e les diverses parties if ! e'
nble. Ce qui frappe ^°Us ^

retl'unité. L'artiste

manière à former de pm,■ N
un cercle doux etwl ^
avec un

dans les ténèbres de Pat^i S
on en bronze, ajoutera î '6'*
nd, dont le talent ne 'conL ^
nationaux. « Ce sont mes £'
,en parlant des grands ho2
t avancer l'art la ^ceS
si bien les traduire sur lebr
de humanité et duprogrèl|0

public, dit un journal, est, depul
malheureusement inspiré que
écrit de plus neuf à ses féaux r

nier grand dîner des Tuileries pl
ntifiques. Le roi, mettant tout à (s
/aie, a causé familièrement avec,
imarquait parmi les convives SU
entaliste. Le roi lui a adressé
sujet de la Chine. M. Rémusu
ire 'des détaïls fort curieux sur,
a laquelle l'Angleterre voudrait!
on opium et sa loi. M. Réma
m temps donné, les Chinois qm
vec le fusil à la Perkins, traits
vient de les traiter dans l'Afghii

t entrer dans d'autres détails poi
l'arrêtant court, lui a dit polimti
e plaisir de vous revoir dei

i du roi des personnages appartaj
nt été émerveillés du tact, de la
s dés jparoles de Sa Majesté, »

serait à moins ! M. Abel Ilémus
est mort à l'époque du choléra

.ianL l'autre jour les noms*1
;é de diriger les proch
Lis avons oublié de citer M. »

endre dans la tombe, if
.es rois de l'Inde veulent

richesses; les rois
faire enterrer avec

ï étaient fort embarrassés

sion consacrée, ne veulen
•mais qu'ils peuvent leur

suite à laieVaQ

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