Le charivari (11.1842)

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éàtre s'est fait l'échn ,

Q'a jamais raison suri \

profit des logés. Nous^i
les espèces, et Persn„ V
irles rôles. CV.sE"ft *
utine que celle de l'nK H

s»ps fo chmge,

trisTina]. Finfro» .*»*"

3mps de changer CX a%
•nginal. Entrez dans h' H
ntrerez, examinez les 1
ridicule n'est pas tonjoj^i

tour, un propriétaire ak

Rien qu'à son habï M

us savez ce qu'a Var>

temps ; c'est la cinqua '>l'

ige, édition très peu COrrjH
un appartement à un J;

t unam. qui déteste] ">
il très onéreux pour 1»?^

e Vautour à casser ce bail JJ:

me se charge de négocier (>a,
de la grosse caisse et rit, •
monte et se plaint; on,!»*
fille, on embrasse sa serc T
tutres espiègleries, qui s " «
s que celles qui ont été S
Benjamin dans sa série d«|J

i arrivent en foule pour Dl

lise un souper et un petit

msant on casse la fontaine,
retombe en pluie sur l'ét»
remonte avec un par*
le. Enfin, après mille tribal'

S,™„i0Ma,lUul—«

ayer les dettes du jeune W
il à son mariage. Le proprié#
ivrer d'un pareil hôte, sW
; les renseignemens les pins',

dit, il y a dans cette pièce udi;
, un cor de chasse, une cuièj
lanse le galop, on casse desi
ail et une fontaine remplie!
îr vous amuser,[tant pis pou»
vantage.

re de la Gaîté.

, clrame-vaudeville en 4 acts,
naux et G. Lemoine.

mais lu le roman de Fierai
, je ne vous en parlerai pas. Il
ré de ma conduite à votre il
ngrat.

; lu vous-même ce roman sert
à moi de vous demander voii
,is je continue à être généreni

sus tenir quelques propos soi!
lu Temple, et sur sa dot, «a
ille et pour nous, ne se compi
li nous aurait rappelé dessin
,es pour toutes les perso®*

ne orpheline élevée par la®
a inspiré la plus vive pass»

uise. Vous me demandez s*

;lle? Parbleu ! est-ce

beaucoup Suzette, mais elt
sur lequel elle a d'autres 1»
Dns les jeunes amoureux^
mise ; car, pour empêcher ;
tes raisons de famille <1® J
e sceau du secret... maI3j

at pas porter le trouble d#|
e, se résout à mettre une»,
elle et le jeune marquis, j
irchand de bœufs qui*■
et écrire pour tenir ses m

touchée de ce sacrin0 j
se cents livres de dot,
nt de Mlle Loïsa Puget- )(
de bœufs, qui, au »n > (
ir, apprend, le jour mê
ie un autre, et, toucn

(La suite «W4


LES LORETTES.

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... Ions mes amis .

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