Le charivari (11.1842)

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e Iran de vertu-m ,
:Inie- Cetle gl0ire) *
suffi. Celle année « Pl1"!
, il a donné comm,, 1 V011!'
d'un Ermite

«*» ^rlemagne^
nous reviendrons ^

aux beaux temps de,
raissent. Que von(
permette un ié.er ? ks
ilogie. c PMIiL

2sque, — »ysioi0giem.

autre envisage la prof tt«
•mi*e ; i'habit, voilà Je S!

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rcie5tuiie^

ire de Montfermeil, unevier
ie vous voudrez de plus franc
ir garçon. Si on me disait
ou la Physiologie,
ie ne répondrais pas. Que di
n lui demandait lequel estli
ou de Napoléon ?
nous devons déclarer qu'il
1 Académie, tandis que ip
leur père, Louis Huart '

au temps des Ermites! Il [ai
une foule de Nains-Jam
lire qu'un seul journal,
son considérable de libraiti
e tous les peuples en un sa
neuve qu'originale, ne pu
is heureux résultats enfoyt
ne peuvent manquer

aux vieillards. Pour avoir t
nort ou octogénaire.... Ctj
l'Académie.

harlemagne et Napoléon, noJ
i Nouvel art poétique lu pij
„eprevost d'Iray, membre f
et belles-lettres. L'ArtM
ici paru suffisant à beaueoi
il y avait encore de ce côté-j
une on dit en politique. M.
est donc mis à la besogne,:
trois cents vers en style lap
î du fameux vers:
îasse un téméraire auteur,
que M. le vicomte Lèpre™
deux â expliquer les usj

ger les règles du gou.
roit généralement de se P
, (extrait de VErmitemU

.enté à l'Académiede«J

qu'ils ne cessât d ^
, la jeunesse, pa ^ ^
rt; Miscellanees,,P

pressementuniverei

reuyepoursouot

PAcadémxe.OD g J

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vanche M. de ° uïde
des fragmens nou ^

ndront compte des e*P

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Imp d'Autert S; C(je

Ici on ne peut pas faire cle farce a sa TNTmie : v'ià ce qui vous chiffonne1