Le charivari (11.1842)

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Gel oncle voulait se
Vis.

vreux, un notaire deîtw,
gée par MmeBoMvetl(
ément trompée.

3ts de l'oncle et taire m
(.reprit cette double UuM
. et une maison de campa"
rême occasion,
rompeur

bout de tant de «àjjjjL

,er dans une conversation
e, une confidence à'oV\\$.
d'Oscar Bonnivet lui an\l
ris, — """ "

ÏÏUi] '.ChiiU.! .! Va\inl Bij|i £

.• ' -,.y. i^.

MÊÊÊM&ÉÈÊÈ

■ que

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t CTUP w S

et s J

nde^vous'no^L^'el

-ajo"''Mme!S"n5'

le contra re în

îsaiftaJ

na.s .] obéit. Grande m

*°tVe MmeBonnS
ml d influence sur l'esprit!

1er, Mariette profite,sans pi
, h0® mystérieux ascendJ
31 enfla il achète au prix J
« absolu que Mariette J
elle serait si embarrassée

u, Bonnivet reprend quelq:
it bien trouvée de ses ma
me alors contre Mme Osa
e ; son amoureuse veut l'ii j
es maîtres, dominés par e» f
îsoin encore de la cop,n|»''-
à son propre piège,
ar bonheur, tout ne vemiij

éjà deviné depuis longten:
billet brûlant de Bonnive
'■pondu : 0 Oscar, je fl
en effet, l'a attendu dans
jolie femme, ce n'est ni Ai

vrai, mais d'intention seul
aame légitime qu'il a oi

ce de Mariette s'évanouit!»
fille sache ni pourquoi ellell
rd.

maïs épouse son notaire,
naison de campagne, il.
inivet, abusant des terreu
adjuger.

rituel, marche vite, arrive
icamoté, c'est absurde, et:
s souvent fait mieux que®11
une moitié d'idée qu'il ai
. Bonnivet, c'est tout simple

Balandard, a joué jBonoiJ
nier de ces rôles ; jJes
le second. Mlle Brohan

rôle de Mariette.
sunsdeux mots de Mlle W
Béranger débutait ava
e-lsle- elle débutait Jgg
Hasard. Impossible
it delà protégée A<
non l'actrice,
jolie. J'y consens. -

yeux ; soit. Sa voix

. Un bras charmant,Jeil.

. Un bras charnu ^
saccadés! quellenai!-%

e raideur!quelennu^^

e, et pourquoi n cet,c pbj

e moue impo/f ^plac^
ont-ils mérite de sl0)l0ffi
e si gracieuse,

arable actrice W

er Mlle Béraiagej ,j
a suite a la * r

( l.illt'ra/f///'•>'.)

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