Le charivari (11.1842)

arras? Vous le
HL-diatement
des douches
e à ces

comte- «taUx
s conibinaisons

e secrets jmp
Angleterre, fo'° ,l""M loD.
eraient pas du
3ler que le roi 5

-S25iî

)n ' Je veux dire ]P é,i'

»e, intrigué par

°us les autres , '

rc 'es douches eu*'
ur- De Brieux'conff '

av°ue qu'il n'est ! Ueà
un émissaire de h !>

ntrecarrerles droit* >
empiétement leS ,J

tétait pas déjà! îf-
» Pour notre compte?®
>ar cette révélation a"s
stament, afin de désfc
ï» ^'Espagne fi*
me quoi ce Bourbon est
al par suile de la flouerie

•e que l'ex-diable des pv.
s faveurs de Louis XIV
nais le public de la Gallé
e grand roi, et cette haute
ent du goût des Tilis d«

r !aa£SS6/e g°Ùt prouve

Ia fraude que bien des

1 rai-
®e|

t été invités à venir aux
ntation de Polyeucte. h
plaisir à voir jouer les

ipuis 1830, que l'on jm
lue. En revanche, l'endroit
ar les comédiens.

■ra-Comique y a joué par
■ La Liste civile a décidé-
ui est Richard.

viennent fourrager jusque
français. M. Guizot atten-
tux Marocains, qu'ils nous
:d.

ait flatté d'avciriuë, uaus'
issance d'Abd-el-Kader.LeS|
) se portent pas mal.

st emparé, à Ouclida, de
us ses effets de pansemenl.
t dire à M. Bugeaud qu'il
;s les landes d'Abd-El*

Iaint d'être fort gênée dans
inciers ne s'entendent pi-
ns que nos écus.
résident de la cour occupt
'eaux des conseillers son
oublement raison de dlfl

sut te à la é'P °Se, J

fr&^]i.juCro„i]6.

LA MARCHANDE D ' ORANGES.

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