Pa es.
' chose aux r\^;.
,ntion lue le mît Si
naissons qui r
esde première fna|0«téj,
^^Idiprena t >!
ll de quelle mt Si»
vième siècle. ère on y
itian d'avoir rpm.nj
aire les œuvres ch ll.d»«!
Florence. Le roi S01? ^
mel, n'avait pas .J, ^
le cet écrivain • i,n î^1"'
l'opinion à u„ ° ec|»'e
l» en servant le
»ns et aux inMrÎJ"#H
il dépendait ; i| a ides«i
■le propre de toute, i^1'
bre, où elle se " 'e>'
de montrer les di«? nne
bissant cette seiu/ra.nd!
ience malgré les jU) ^
rement la prison, 0U 7;
plus fatalement la >
le toujours une libre a
[uefois des pactes honte ,
trejus ifié, jac0rru ti0
urait le nrinein.i ,'L. m
oduction sur 1 ^
tantes de penseur et d'écri-
gié allemand mort derniè-
acrifié sa vie à la cause dt
lustique, il s'était fait m
lgré quelques germanismes
i Réformateur plusieurs ar|
Bps un grand succès. Les
'•aires sont la collection di
lques morceaux inédits. Li
> incisives et turbulentes. 1
fet, morose. Une verve iné'
te temps il emprunte k l'Ai-
iséequi est l'une des quai
me temps l'un de leurs dé'
un enfant ; il se promène k
eurs sur sa route, il joiiij
que les Teutons n'oublie!1!
ber dans l'extase des réve-
il contemplative. Mais ce m
itant donné, il se relève e
rieux et les plus profonds
an grand prix à l'opuscul
On y remarque des forme:
les et qu'il n'appartiendrai
. Le tour est allemand, l'ex-
il en résulte une curieuse]
,ée de l'auteur est mis à dé'
rechercher ce petit volume
•ait pas de curieux docii-
s appréciations liistoriquei
i ici-bas toute philosoph"
de rien prouver déplus^
l'homme, la nature et les «
k l'usage de notre pto»
philosophie, amoureuse
js traitemens universitaire ,
on temps: « Tu nesqu
i que je m'y mette. »
ie à l'égard dusensua'1 j
ilisme en faire autan
irter à son tour le ration®
rrain sur la pflcotogjj
îlogie, Anstote s PP
r la métaphysique,
cheveux avec l'ent.
isqu'à, la consomma^
nces positives auro
,1a poudre à canon,
idis que la philosop
e passer l'émargem à „
lair.es d'un sensu*
lure que M.
venge l'illustre
sourdes
L est inutile de ®
(La
f C'/uinleursJ
PftHTIKlÊiH ElMIWMflM
ÎKtt Biuift !,chl R.dnCroiss;mtÏG
viiL* fa -OIJC
y:.
Imp. d'A-uLcrl 6: Cie
i
(9m 'de Dite/ evt co'c^o i>e
t? w <)eivoc. /ui i viceé J"u.<>e<vuocàes Jo'wvt,e à t. C<ai.><vn-tv :
Ou iow La!oni ' ?
V-..
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Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Panthéon charivarique (Chanteurs.)
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Objektbeschreibung
Bildunterschrift: Lorsque de Baroilhet vibre la voix puissante, On se dit en voyant son corps se partager, En deux minces fuseaux de forme si plaisante: Où diable son talent peut-il donc se loger?
Kommentar
Paul Barroilhet
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1842
Entstehungsdatum (normiert)
1837 - 1847
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 11.1842, Avril (No. 86-120), S. 467
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg