Le charivari (11.1842)

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Au Gymnase.

vaudeville en uâ acte,
l'une maison sans abDaw

dée, et parmi des meublé

par la forme, vous voyez 'M
assez fashionable : c'est * I

où toutes les femmes foi
'il n'y a pas rencontré lesyJ|

nour et prépare son souÇet. j, i

y met que du vinaigre;

! dans la rue. Timoléon co1Jt. i
'on insulte. On exécute dam'»
i il doit être arrivé un malt"

>ur ceux qui out l'oreille *1

,ôt chargé d'une femme m®,
fauteuit. Il ôte son masque..,i |
i fait respirer de la salade

f

t chez un garçon, elle est ttt, 1
ue heure indue, elle venait dt- j
n Benoît, qui demeure dans kl
l'ont insultée ; elle s'est én-1
garçon.

laisser sortir j il l'invite \ «m-1
>se à se jeter par la fenêtre-, ce I
i demeurait seulement auM-1

; consentir à rester chez Timo-1
n instant où il est occupép

îr- I

le referme, Timoléon lui iadvl

n Benoît, et les renseignent
ramener chez lui par l'escéet I

bouleverse sa chambre, chaiç 1
3 son alcôve, se fait des rite,
ses jambes, et prend eA\

ires du parrain Benoit.

mtre escalier, comme il UJ
,n parrain,qui la reçoit date

Ôt il s'humanise; il

èiiance et laisse faire 5011

ILLO».

'imoléon ; Anastasie le croit in-
consent à épouser Benoît lui-
. vient; elle avoue qu'elle ai«
toujours. Benoît n'y tient plus;
i de chambre et son organedi
le voilà, aux pieds d'Auasiasif,
pardonne la ruse et réclame It

i commence avec une situa®
ivec l'idée du Bcts bleu*: i'ï8
on ne met que du vinaigre tt
ie la pièce. La donnée pooruj
Bouffé et Mlle Nathalie
n'a pas été nommé.

Philippe va nous dowitr, 'm I
■tuions théâtrales. M. Guizot st
lé, de nous donner une refit',

les ministres ont parlé de
> publique. Il est à croire f
ie thermomètre.

■s ministres actuels nous p"'!
imposant des budgets de l'J
tié-là nous est trop chère.

tendre sentiment rempli1 '
es ministres.

-ion de chemins de fer, wu>'1
(La mite à la i' ft"

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