Le charivari (11.1842)

époque.

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111 oncle Gi»onot

Ies diflicuités pour Wiq'Ji,te
' qu Arthur sou- f

lté Je aome.stjq,Je «»:(

TT el de le seco.,r rédé~
bientôt dans uneséJ^

t'-es et mettre le L1 hK
sa n°uvelle Coatli|i erUê-

1 » reconnaît « i,
des convives i IW®8 N»-

""'«"«MblonJjL"*

ppe. ^Wree!

înaissentéKalcm.r,,,
is grande. Ce jeuoe Jr'h'lr!
i valet... Horreir! m!
îr planer sur |u, .

que d'abord avec la jî"®!'
d'elle la qua[lté d °'lde
îcbantce !

!, Arthur n'a p\as eny-
ï passionnée est pourvue d\m

,e et. (Iul.la duanek toutie
mans qui tirent le pislou
amsi dire à lui té™,» de
s ; le mari les surprend • A,r
l époussetant les brodequ,DS |

i a des soupçons, uoe lettre
Arthur organise une scène
t le monde, le mari, le père,
mi Frédéric. Le mari jaloux
uvre ses bras à Arthur el lui
i sa prétendue a son atni, en
tègre et d'un p.inla on noiset-
î et se trouve débarrassé de

ant. Sa position est très co-
e. Oubliant toujours qu'il est
i de ses maîtres, leur donne
îuils, se met à table etscan-
ma/adresse et ses adum,1»
ius aboudent,et l'intrigue est
leux seulement (pour lés au-
que) qu'elle soit tout entière
M. Alphonse Karr. C'est i

'oïl gentil dans Mérovée.Le-
jclerc l'ont parfaitement se-

lamps-ÉIysée»,

sur un nouveau cheval.

talent du célèbre êcuyer ;
ssé l'attente du public. Soi
exécuté des mou veweiis d'u-
niment des pirouettes sur»
'aut restant constamment «
.é eu avauçaut, ce qui du®
e gracieu-e. Les exercices </«
ois à la ioule et aux affliW'

uzent, qui accompagnecefr

es qualités que nous avons*
s signaler ctiez ce jeun» *'


-/

ÏULOIT.

tir me que le Cabinet est 0"

as. C'est au moment des élt*

•a d'autres débordement,
té, pour les travaux du i*
, le neuvième jusqu'à ce M
à mener ces irayauî-tà à

e de consulter les préfets "
II a beau recourir aux co^

ins malade.

La suite à la t'pat1')

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