Le charivari (11.1842)

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it-il à ses collègues; M.de
"r un bon» un véritable, un
• de Varennes ! Les cabinets
«es cigares à nos ambassa-
Pas enc°re arrivé. Pendant
le, le sultan Abdul n'avait
j. narghilé à M. de Ponte,
bre magnifiquement rayé,
France. Voilà un grand pas
réalisation rte mnn

3Ut et toujours s'approche ;
:uelques cigares de marche,
le de tirer en réjouissance

ele symptôme n'est pas as-
mr cette fois du coup dt

Dt a mandé à ses subordou-
•ivent jamais se formaliser,
ment ne fait pas même su-
ites. Il fut un temps où il
sse pour allumer le cigare

dans les relations diplw-
rire. Surtout, quand «i»9'
s indéchiffrables.

ore une fois le wot (ic ^

Gnizot, la parole uousi

3 pensées.

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»c ces tliéories-là.

[c nombre des sw^
rantrépoque P ,f[

siéges-là Pour

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{Lami«*lai F

ïïl VMWS,

LA CARDE-MALADE.

7,m"r vous procurer deklles connaissances .Un cpilepl: ^::

me

Décidément, il ny a que les friutri

au fiydrojmoQe^ et une folle :..... Si 1 epieier pouvait me faire avoir avec ca
piu ma promise, ces! ça gui me ferait johmeii