Le charivari (11.1842)

che des courses 4e chevt
as déranger? N'avoirf
rse au budget?
i doucement va longtefflf!
l mène, la fortune p#
loin.

dit-on, à fixer les M
rtes chaleurs sont W

M. Guizot s'y,
des députés si faisandé

maintenant défendu
ni manquait plus"1

va, dit-on, quitter 80
iblir rue de Londres-

Ituj) . i'ÂuVèrl CL!

Gkz Ba^erl du Croissant 16.

V.'tOVJGJVUON D ACHWt •

, Us1 que de professeurs rompeut uos jeunes ities

L Inflexible Qnron feail chaque mata, ta ^ ^ ^ ^ mo,He leks

Eaièver "bien souvent sou eleve mutin „..3_

^jud l1ujlu.v, —

:n finir, comptent, diM
vanche, il; ne compter

joui,eue, les Cris
gardiens en pan,,,""11
Être ténors- a„,
All! les gueux ,S'leîl
^rmer*

• Qui vive ?voilàt;

;ous mes ombrages,,

llfes> un Poëte qUi ^
alexandrin. *

■es, sous l'espèce i

"S Sy'vains qu'on 1
>lonU ettraînée,!;

es parcs ont déserté,
me sécurité, tant ilv"
es!Et P-M.de £

guerre, sous prétexte•

• d'asile aux aaarchiJ
fréquentes entrevues,
aPins, je soupç0DI18
3hie avant de l'av0,t
nne se hasarde daJ

line et sauve ; il vaj
La-bas au moins om,
. pirates; mais dans u
prison et de l'amende,
ios ne répètent que le t,
>. En manière de fiant
mais j'en vois beau»'
npensation.
i, d'artillerie, d'infant®.
)n, des fusils plein B,
s massifs ; mes toits itî
ninées.

e situation, û mon collé»;,
Eure a-t-il pu vous fourni
ros ailes et votre parc, s
»s , vos prés et vos tais
:e? Si vous êtes arrivé à:
is si longtemps déjà, je «
' dans ce monde il n'y
i résidence royale

sais s

,e les armes.

HIATEAU DE NEUIHV.

LOlTo

lté, notre honneur nation
ais, en revanche, le but?:
dales.

fasse un autre usage, t
des fortifications de Pu

HISTOIRE ANCIENNE .