Le charivari (11.1842)

• l»'pn que ie f

i'Siirïï^i

1 a Pas, il

7la"^ <le pareils nn
admiration de SPS

1,8 » i*5

mbour-major des V-, ■•
^'aeede e"

ter de cantines, enfin

f* 'out k coup. Sl
changent en revers 1
ipette qui balance ainsi

erse tous les pro.|Pts ^
rs et en ace le cnios
8e de la ruse trio®.

dont la destinée semW»
^inestunenthons™

our-imjor. Il envie m
et rêve de sa canne à

n'a qu'une pensée, c'est
l'or que Loriental: il veut
>e k cet effet le costume

neste, et le pauvre Fré-
yingt-neuf maris «aira-
in personnage du roman
5 Perth. Il n'y a pas de

Ludeville amusant et qui
ultiver le domaine de h

HISTOIRE ANCIENNE

Hyacinthe ont l'ait rii

rire,

l'Aurillac un buffet d'or-
juteux que dans le collé-
re lui procure un

sont plus seulement des
use. Entre les mains de
t encore des instrumens

électeurs d'Aurillac ne
aisser mener par le nez.
î essaie de les mener par

it le huitième collège la

q. On aura de la peine a

e du mouvement.

de se prôner lui-même
Saint-Antoine. Il saura
orloger pour faire sonna

listration essaie d'influé»'
ur de M. Martinet. Tout
iura de la peine à frappî

M. Barada conseiller''1'
Tu'il rendrait en temps or
)n voit qu'en cas de ma
ie veut rien perdre a»

asuite nos homme» d É
?ent agir, dans-l'ucca

Chez E.niDÇT R du Croissant ,16.

y

Les Augures, dit-on,ne pouvaient s'aborder
Sans rire de leur fourberie :

Mais nos chevaliers d'industrie
Se traitent Gravement et sans se dérider .

' Y) P,T\Ti », ~oo,v>\r ?