roir reproduit utl
f Pr°mière affaire
le devant la 6™-
!nce du dépôt;'à
^ dépôt n'a point
s, niais seulement
1 au parquet doit
des œuvres pu_
: l'affaire Ilenricy
pplicable aux ceu-'
^nes. et serait mê-
îpossible. Eu con-
ïleur.
lochefort, a décidé
une manière abso-
es littéraires, quel
ue l'exécution de
; et qu'enfin le de-
ttes, ordonné dans
ie peut, en aucun
par la loi de 1793.
acquitté.
La septième cliam-
niner par des con-
i l'honorent, et il
pût faire jurispru-
! la portée générale
e assez grande so-
ème cbarabre.
nouvelle. Lorsque
es premières pour-
vut du dépôt lui fut
uphé dans l'affaire
ière instance et les
ainsi que les juges
pposées, et depuis
:st conformée, non
mer par la loi ce
:re par la jurispru-
publia une note où
is juste que le droit
un journal dépen-
e, en ce cas chan-
lécessité de ce dé-
e, et alors il faut
déposer un exem-
r ne devienne pas
l'oubli du journal
heterua numéro du
, toutes les fois qu'il
iété. »
aple, de si simple
:nt frappés. Le Siè-
tes autres où la pro-
ripressèrent de dé-
à la librairie pour
>it le droit d'auteur
es journaux, ils ne
comprendre, et je-
été des gens de let-
ge nouvelle, comme
îieux ne valait pas
ir jour !
les écrivains de ces
£ des gens de lettres
uméros et d'aller les
er qu'à l'auteur qui
l est fait, tandis que
rofiter au j ournal et
s. Il en est résulté
contrefaire impuué-
ne pas vouloir ac-
î facile à coup sûr.
ux de Paris, avertis
fort, jugement con-
a cour royale rame-
ion de l'atlaire Heu
ifficulté de déposer
airie, dans leurpro-
titeurs. Plus tard on
tue pour les journaux
lépôt à la librairie.
Société des gens de
loi sur la propriété
ilature.
lanqui parie de " seS
iiiiê à ia î4
L ECOLE DES FEMMES.
Par ChanicleTher.
Ck* B;tu»>T I fu Croissant Ifs.
Iran il Anoevt
uieie belle
( J il Ijoij tien valut nu eux cpie^ deux tu auras : 4e. petit yi comte cjui, depuis cjuelcnie temps
«aymt " 7. acjijs jour dans votre affection, la place cpie cliacpiè jour j'y perdais, est mort ce, matir
des suites d uu duel , ce soir je pars pour Londres.
fe
f Pr°mière affaire
le devant la 6™-
!nce du dépôt;'à
^ dépôt n'a point
s, niais seulement
1 au parquet doit
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: l'affaire Ilenricy
pplicable aux ceu-'
^nes. et serait mê-
îpossible. Eu con-
ïleur.
lochefort, a décidé
une manière abso-
es littéraires, quel
ue l'exécution de
; et qu'enfin le de-
ttes, ordonné dans
ie peut, en aucun
par la loi de 1793.
acquitté.
La septième cliam-
niner par des con-
i l'honorent, et il
pût faire jurispru-
! la portée générale
e assez grande so-
ème cbarabre.
nouvelle. Lorsque
es premières pour-
vut du dépôt lui fut
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ière instance et les
ainsi que les juges
pposées, et depuis
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:re par la jurispru-
publia une note où
is juste que le droit
un journal dépen-
e, en ce cas chan-
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r ne devienne pas
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heterua numéro du
, toutes les fois qu'il
iété. »
aple, de si simple
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tes autres où la pro-
ripressèrent de dé-
à la librairie pour
>it le droit d'auteur
es journaux, ils ne
comprendre, et je-
été des gens de let-
ge nouvelle, comme
îieux ne valait pas
ir jour !
les écrivains de ces
£ des gens de lettres
uméros et d'aller les
er qu'à l'auteur qui
l est fait, tandis que
rofiter au j ournal et
s. Il en est résulté
contrefaire impuué-
ne pas vouloir ac-
î facile à coup sûr.
ux de Paris, avertis
fort, jugement con-
a cour royale rame-
ion de l'atlaire Heu
ifficulté de déposer
airie, dans leurpro-
titeurs. Plus tard on
tue pour les journaux
lépôt à la librairie.
Société des gens de
loi sur la propriété
ilature.
lanqui parie de " seS
iiiiê à ia î4
L ECOLE DES FEMMES.
Par ChanicleTher.
Ck* B;tu»>T I fu Croissant Ifs.
Iran il Anoevt
uieie belle
( J il Ijoij tien valut nu eux cpie^ deux tu auras : 4e. petit yi comte cjui, depuis cjuelcnie temps
«aymt " 7. acjijs jour dans votre affection, la place cpie cliacpiè jour j'y perdais, est mort ce, matir
des suites d uu duel , ce soir je pars pour Londres.
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Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
L'école des femmes
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Objektbeschreibung
Bildunterschrift: Chère belle, Un bon lien valeit mieux que deux tu auras: le petit vicomte qui, depuis quelque temps, gagnait chaque jour dans votre affection, la place que chaque jour j'y perdais, est mort ce matin des suites d'un duel, ce soir je pars pour Londres.
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1842
Entstehungsdatum (normiert)
1837 - 1847
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 11.1842, Juin (No. 153-181), S. 671
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg