Le charivari (11.1842)

ubstitué liier, dans la
nom de M. Ducos kce-
li savent assez combien
reproche de ministé-
ît déjà relevé eux-mc-

IX ANS

-(58e volume.)

laraître le second volu-
, ce beau travail dont
teurs. Toutes les quali-
lébut de cette œuvre,
de la pensée, la fer-
ent dans son heureuse

Condé, de ce vieillard
l à l'espagnolette de sa
athétique de M. Louis

>t le théâtre ne saurait

i que la peinture de
vahi les derniers jours
liscuté avec la sagacité
les faits relatifs à celle
îide, et il a décrit avec
uses horreurs de celte

s les yeux s'ouvre par
de de l'Europe en m
'[ la révolution de juit-

e .succinctement lau-

s et maître de lui;tr®
les mers; labourfml
lisant,, se donnan
trompées dans leur »
France, imm°bi e s
ionnaire flatté d'aWri,
par éclater » *
es; des complots>
'trois cents répubU

■X toute

S sectaires; Lyon»
a ■ la duchesse de

.M mS

no»ïSilectol«™ïï,

aix incertaine, q
n ruineuse;

Chez Baurfer R.lu Croissait,16. knp . J'AuUfc 8= C1.,'

UVXSSt PLN£\_OP£.

Cria:.terri er.l eler.dus sur leur pudique c'oucke ■

Ces deux nobles époux se retrouvaient enfin .

Et cfuand Ulysse ronfla, sur sa charmante louche

Penelope commit un amoureux larcin. , * v, , .

r Ueuvces ba4m.es 4e ÎA.T, V atout. ^

ta"7u é^em®etl
«ont jamais rép0t,du

qu on se Plaisait à leur
ee sera le propri6.
le, et le beuglement de
»te pour le candidat du

uvre aussi neuve qUe
1 opposition court de
lièges, car il faudrait
ain fût totalement Ro.
ons si grandes. QUand
dat patriote et un tau-
ce dernier l'emporte

rusé campagnard pro.
laisse, puis votât noir
sez ingénieuse manière

H

IST01RE

ANCIENNE .

les du voyas>e -, ,
aes et iriimoraux Ui"

"c'est'6 PlUS' 8prèset
'C<S,t sa génisse-

an«la'se; mais il l ]
génisse avec nn ■

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