Le charivari (11.1842)

8 nuits corinthien*

"Mt des POëtes â
a grâce, de l'élési "

5lnahté' ^ns inf^

ie Puisse défier las"
est peut-être pas

td'êlre ^ En soi!

un homme dum(mde
el «es publie par fj
mot l'iudique^;:;

déjà UQ méri(e

sont vfs, concis, spi'.
nulle part, et p0l]N
Ce recueil se lit
chose bien rare, sans

'tre part, absolument

payé pour cela. N'est-
Hissions en faire ?
e distinguent par des
leux poètes qUe nons
s la verve et IVntraî-
ileaux erotiques sont
luand il n'est pas tout
ssion n'anime pas son
n ou mal, et souvent
Tel qu'il est, malgré
; faire ressortir et des
:ontester la légitimité
rable.

rmi les volumes dont
s hésitation la prêté-
a intitulé Formes et
véritable poésie, plus
t un style plus cons-
•es. M. Arthur Ponroy
i avec la plume; mais
tut degré le sentiment
i manie l'ironie avec
Vépoque est une sa-
galerie de portraits
à grands traits,
quand on nous a re-
■isie, par Victor d'Ar-
er la lecture jusqu'à
■s passent si vile qu'il
Une autre considéra-
le jeune poêle, car
publication à Bocage,
, le caractère.Nous a-
iure,et franchement le
rns même plus agréa-
)es quatre poètes dont
yeux, deux avaient
deux autres l'amour
, venu faire diversion
sur le progrès social,
strophes vigoureuses
e la correction désira-
t pas désavouées par

us devons en signaler
on ; c'est une ialéres-
Sébastien Rhéal, au •
t paraître sous le titre
et du Nord. Ce titre
3 qui parait par livrai-
M. Sébastien Rhéal.
;endes dont se com-
qué la traduction sui-
,u plutôt que psalm?-
i accompagnaient les
la danse, il y a 4ue '

6s.

àDÊRES.

rterelles

it leurs ailes,

oir.

ine,

es beaux jours.

onde sereine.—
nveaux amours.

imide,

ris perçans,
rflde
issans.
ibe,

fautours.

aile à la b?

POLITipUE DES FEMMES

XiTtj) ^ Aubert &. C1'

Aient diplomatique

Par Garanti .