Le charivari (11.1842)

ont pris p0Ur
l[i blesser un
îrober sa lête
ii ne deman-
d'abord à lui
aon cher, ré-
^ j ftdoréc
•olongeait ja,
nonçant mou
ie de ses tan.

r aux aguets,
lomnie jeune
Quel est cet
ousie que Sa
e'ui qu'elle a
lc°re le sou-

Réné, dont il
1 venu préci-
DUQe; mais
ont fermées,
ailles cassées.
;0Qi est ame-
eur du mari
iginal dupor-
êsirait le gar-
e de lui don-
qui a deviné
jolie femme
- vérité, Réné
oonier; pour
lieuse, Gusta-
lissant (Deus
:e nom redou-
a liberté, ac-
re le maire de
ari de sa pré-
ssis reste seul
artient désor-

ils spirituels ;
;ène qui a vu

cteur, M. Lu-
armant comé-
ince et un peu


sus fraucs en
e de faire tout

t d'éclater sur
eler à M. Gui-

semaine élec-
>le militaire de-
ait bien que le
toutes ses bat-

e, un demi-ba-
abinet fera com-

res du soir

supplément de

a 4e page.)

HISTOIRE ANCIENN

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