Le charivari (11.1842)

DE BALZAC

COMÉDIE HUMAINE.

Vignettes par MM. Meissonnier

v.elles scènes d'un co.
Mauriac (Cantal), pa,
M. Sal'vngë, psi S(i.
nanilai passer enlre les
lépendunt par position
Miramnn, qui se pré.
iir la dïg'nité nationale
. M. S îlvage a d'ahurj
<, de canaux, de l)u.
, met à )a disposition
pour acquérir les sut.
trouvant h bout d'ar.
de dénicher du hum
sic de Sbcrâte dont il
tus prétexté de saint

est assisté, dans ses
jfet du cru, Si. Chaù-
Je-vie et qui, après a-
ssprils, le fait aujour.
nient !

pprenant l'autre jour
t semblait tourner en
>n trouvé de mic.ux
,e faire saigner et dé

de M. Salvage fait en
H : elle se trouve mal,

; voilà un homme qui
îi sème peu de fleurs
is discours n'envahis-
t guère sur l'impres-
;s biberons plus ou

publique de Sparte,
s. Tous ses méritu
; de ce mot pointée
mol! et qu'd dit bien

font alors de mon lit le théâtre de
leurs jeux.

MÉMOIRES DE DEUX JEUNES MARIES,

tériphrase , il a lier-
épouvante, l'ellipa
1 seui coup, ce çouç

bancs

lllllllUUuTû',

•puiser le vocabulai-
re leurs qualités,
naudaiaire a brave*
ip il a retiré i'udjec-
mt, le plas abrâa-

lïzsfmtKÇsgrnmammmœ*

is, n'osait se réve
lu. Sjl iiioJéstiii
s modeste i®B

A toute heure du jour les passants apercevaient cette
jeune ouvrière

UNE DOUBLE FAMIIXIÎ.

-, TURNE et C% rue Saint-André-des-Arts, 55 ;

impns, c
es amis,
ainsi qu'

Editeurs.

qui L'a dévoilé au*
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