Le charivari (11.1842)

ffirme, nous paraît si h
onner que sous bénéfc

est mort, il y a quelque;
par lequel il léguait àf)j
partement de la Seine rai
réer à Paris, sous la sur-
chaire de droit notarial,
•ait l'esprit peu novaM
estament prévoyait le®;
ttribuait, dans ce cas, h

ceeptation ou Je refusé
s de Paris, le croira-t#
en demeure par les M
■ compagnie a dû prend"

lée générale jeudi, et M
s.

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'épuisent à répéter qo»k
ias. Il est vrai qu'il.1®

(La tuiU à l<t *' '

"t °/l ans et o.d,n,

de la funeste chute,
assure-t-on, doÛDé,

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ue. — Boileau.)

gouverneur qui vient d,
par ses chevaux, etqUl
nent, les fleurs les plUs
ie la rhétorique, a sou.
lire suspecter la sincè^

ingénieux que certains
cherchent à tirer defe
iant la forme élégie
la grâce coquette a-
uchoirs, le son hartrio.
er à leurs hoquets de
la réalité de leur ait.
irrait bien ne pas être

ble qu'un homme véri-
ez de présence d'esprit
toriciennes que nous li.
up sûr la plume qui a
n'était pas trempée du

;u confirmatif du déses-
il des Débats disait an
hercher à s'abriter dit-
MM. Decazes et Pasquier
jngent à se pavaner et i

ux digues personnages
prince, l'occasion de si
loeratique., en portant le
ies [de l'ancienne monar-
de grands officiers de lu «ji
pas tellement ofïusqués '.C
compulser et lire atten- O
tique lté. ! ~"

, annoncé l'intention def ^
te nue le Château a eu 11 —

préoccupation si futile
t, et qu'il a intimé à ce
je MM. Decazes et Pas-
leurs carrosses, ils seront

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