Le charivari (11.1842)

:w •

■

3 servaient les seigneut
fférence. Ce que celui.,.
3 le nommez cellule on
ous êtes ! Renfermer utl
sir autour de lui vol0ll,
itrefois c'était infliget jj
lie condamner à l'iS0|e,
ir la philanthropie !
lens, citadelles raaudi^
aer l'esprit de vengea^
ux sur lesquels s'accom.
ec du sang et des lw.
histoire. Que de déses-
es depuis le jour où 1,
; forteresses féodales en

encore un historien ou
chaud, coloré, commt
ins. Ce ne sont point les
d'ornemens, les fenêtres
se sent pas le triste cou-
itant une geôle ; les pri-
la prison, et la liberté
son histoire du château
sé de la vieille forteresse,
, mais dans la vie de tous
ssivement et qui ont a

t dégradé et décliu de si
3S plus renommés de lt
endissaot de la nuit his-
ers momens de la dynas-
d de Coucy, Duguesclin,
du moyen âge, se lien
îs y soutint un siège el
5 le commandât Balson
mais devant trente mille
léroïque. Même dans tas
îmes de l'empire une mi-

passé du château de Ham,
mémorables peut-êlreque
f le signalent à l'attenta
:nt emprisonnés les minis-
:es ; avant eux Bourdon,
furent conduits. Ce vasle
)ur de château, c'est far
a république dans la per-
liberté. Un arbre de la li-
on, est-ce une consolanle

3?

raînement dans la manié-
souvenirs. L'auteur s'est
i du malheur. Aujourd'hui
été rendus à la liberté;!
au fort de Ham, c'est li
îst venu prendre la placf
ns celte forteresse qui ai'
tous les régimes,
es prétendans. Nous laisst-
tussi bien est-il plusieur;
nés sur lesquels il nous s
dre avec M. de Feuillide. i
iscuter sur le seuil d'uni
laindre avec lui ce je®
on forcée de nobles et pi"
Dit l'opinion que l'on ait*
uelle âme généreuse pot
sure : n'était-il pas exilé!
auteur, les portes et fenêtre
nt livré un passage facile

enaient lutter avec

le fè

tir des objets les plus in®
bifable une prison qui M
même de portes et fenêtre:
acien chambellan comte'
ie six cents francs ! Voilà1

3me l'affirme l'auteur,
principe. C'est un hoi
ndre sa destinée et celte»
i, qui doit regretter ma-
inte-Hélène. L'expiation"
serait-il pas temps de soif
emble avoir oublié que, *
iu douloureuses, les anflj
Dieu le rachat de plus"1
pour le fléchir.

plaisirs parisiens.

Cke.'Bail s «ar Bi il i l CrnissanlKî

Imjj. ti Hitirb &. Cle

est pourtant vrai, ne on mpeilait crii'eîlé a "uni mure.... dis donc BiLl , mor et mon cm en
ri t\ - i , t J r • 1t rr , i .r i <J ■

me rap-p «lie Diane ' >-1 lu me l'ai s11'effet d'Enàyrmcm