31' des reliefs et ,1
ut prétendu indiqué,aire
comme, liion '4et et»!
'Ht
comme" Dleu^fqi
inintelligente et m '
'"er des bonnes in, yoI
ians son drame
nt vivement répoJjH
omte (corme de Pui
cro're M. HomaP lo'js
nens précurseurs de1 "»
les moyens dp 8,! ^
>n, il avait déjà îorJ T{
i se reprocher, deux 5U ''S
une pauvre lil|e
mariage hoateus aS"1'
Lr un séJ°ur de queu1®
tus pourrions bien tr
el avec un de se? "
6 du Pr'ncipe aristoeï
c les gothiques défenc»,,
qu'étaient les cS g"
inez plutôt quelque g
nt révo utionnaire, sZ f
i&sçsiH
»«»,« le iS",; *
L°rSe prétend fai
ofi de 1 aristocratie J
, et dompter ensuite l'h,
esprit orgueilleux; f«f,
ile plus d'une pierre où s®
le, plus d un mécompte F
ie bizarre) ses plus craei
3 ceux qu'en secret il J
intention?, la noblesses,'
a tribun. Il faut qu'il don-
! décide a une alliance ou
de Lorge. A Ja vérité. Mi
}res le mariage de sa m
s.
usque-Ik soumise et rési-
3 toute l'énergie d'uoe n,
le son enfant. Elle nevem
Je Kerengal, un des plu
lis aussi des plus vicia
Et, pour prévenir ce mal-
lein de zèle, dans la mai-
son secrétaire, le jeune è
ivoque et les leçons d'n
entant aux États-généraas
s adeptes de la révolution,
3 un dépôt dangereux :tt
larquis de Lorge à l'époqui
nt qu'en toute connaissaa-
si jaloux de son honneur,
ex-maîtresse de Louis XV
d scandale peut être pro-
lu marquis en recevra i
que, irrité de la résistant»
conduire dans un couvert,,
het, sa malheureuse feu-
maçant d'en appeler à l't
ntôt en quelles mains s
i peut le compromettte.1
forcer Brehant à la lui t;
est la suite de ce délai
son secrétaire. Ils tira
[ue tout à coup unefenœ
a mère du jeune Brehant
ite par le marquis. Sa
le père et le fils allai®
archent cependant sur ®
'amille. Necker renvoyé,'
r au ministère; on lu'!
îles. Il s'en est vengé a
plus, emporté par le défi
,viléges féodaux. Mais »
cour des paroles de paix;,
iastique breton dont no®
Kuême,— ancien ann®
1 avait vaincu, l'épee ai
la motion anti-aristocrat
uel qui s'établit entre®
3ut opposé à celui dei «
iomphait, le principe 1»
)it déborder, est obligé i
ïctrines égalitaires qu u «
, il donne sa démission11
■l lui, après ce coup deC.
hambre s'avise de preo
ir La Guême, notre mari
maraud. , je
[ue est au courant de p
rdé soigneusement des f
tions secrètes du mar1
suite à la 4e pa(je-)
PARIS LA NUIT.
AMBIGU COMIQUE
IVe TABLEAU
ut prétendu indiqué,aire
comme, liion '4et et»!
'Ht
comme" Dleu^fqi
inintelligente et m '
'"er des bonnes in, yoI
ians son drame
nt vivement répoJjH
omte (corme de Pui
cro're M. HomaP lo'js
nens précurseurs de1 "»
les moyens dp 8,! ^
>n, il avait déjà îorJ T{
i se reprocher, deux 5U ''S
une pauvre lil|e
mariage hoateus aS"1'
Lr un séJ°ur de queu1®
tus pourrions bien tr
el avec un de se? "
6 du Pr'ncipe aristoeï
c les gothiques défenc»,,
qu'étaient les cS g"
inez plutôt quelque g
nt révo utionnaire, sZ f
i&sçsiH
»«»,« le iS",; *
L°rSe prétend fai
ofi de 1 aristocratie J
, et dompter ensuite l'h,
esprit orgueilleux; f«f,
ile plus d'une pierre où s®
le, plus d un mécompte F
ie bizarre) ses plus craei
3 ceux qu'en secret il J
intention?, la noblesses,'
a tribun. Il faut qu'il don-
! décide a une alliance ou
de Lorge. A Ja vérité. Mi
}res le mariage de sa m
s.
usque-Ik soumise et rési-
3 toute l'énergie d'uoe n,
le son enfant. Elle nevem
Je Kerengal, un des plu
lis aussi des plus vicia
Et, pour prévenir ce mal-
lein de zèle, dans la mai-
son secrétaire, le jeune è
ivoque et les leçons d'n
entant aux États-généraas
s adeptes de la révolution,
3 un dépôt dangereux :tt
larquis de Lorge à l'époqui
nt qu'en toute connaissaa-
si jaloux de son honneur,
ex-maîtresse de Louis XV
d scandale peut être pro-
lu marquis en recevra i
que, irrité de la résistant»
conduire dans un couvert,,
het, sa malheureuse feu-
maçant d'en appeler à l't
ntôt en quelles mains s
i peut le compromettte.1
forcer Brehant à la lui t;
est la suite de ce délai
son secrétaire. Ils tira
[ue tout à coup unefenœ
a mère du jeune Brehant
ite par le marquis. Sa
le père et le fils allai®
archent cependant sur ®
'amille. Necker renvoyé,'
r au ministère; on lu'!
îles. Il s'en est vengé a
plus, emporté par le défi
,viléges féodaux. Mais »
cour des paroles de paix;,
iastique breton dont no®
Kuême,— ancien ann®
1 avait vaincu, l'épee ai
la motion anti-aristocrat
uel qui s'établit entre®
3ut opposé à celui dei «
iomphait, le principe 1»
)it déborder, est obligé i
ïctrines égalitaires qu u «
, il donne sa démission11
■l lui, après ce coup deC.
hambre s'avise de preo
ir La Guême, notre mari
maraud. , je
[ue est au courant de p
rdé soigneusement des f
tions secrètes du mar1
suite à la 4e pa(je-)
PARIS LA NUIT.
AMBIGU COMIQUE
IVe TABLEAU
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Ambigu comique
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Objektbeschreibung
Bildunterschrift: Vous cherchez Julien Guichard votre neveu; Eh bien le v'la. (Paris la nuit.)
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1842
Entstehungsdatum (normiert)
1837 - 1847
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 11.1842, Août (No. 213-243), S. 863
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg