Le charivari (11.1842)

e ealliolique sont pj.;,,,
.te table, les excoL, '
sont déclarés iQdi§tt J
'un écu de cinq fraûCs *
an juste-milieu, ii ny
Plus humiliant qUe}J
ire. Suivant eux, |adJ
)ir mettre la main

HISTOIRE ANCIENNE .

lés assez impies pour0ser
bre sur les bancs de IV
nléges pour oser les „î
udgétairement parlant
iux béatitudes monétaire'
double but : d'abord N.
sitionnistes, en second lin
les élus officiels ont ^

Commerce :

re de l'intérieur fait fim».
les qui, en secours de4
res et objets divers, doue
■ties entre les arrondie

t déclarer qu'un uépuiéj
lu reste, s'étant présentés
ur réclamer une | f rt de»
arrondissement, i lui a(
de semblable ne milm
ilion , et qu'on ,:e repu
~es. »

nt public est à cette hem
rais du culte guizotin.
saint FulchiroQ, hsaintDi
1, etc., n'allez pas réc
payés par tous pour l'usa;
i acheter des plumes et dt
lire, à corrompre des élet
Is et autres œuvres pies,
ns arrondissement qui 1
tes confréries qu'on appel
uisses (du ministère) poii

egaucherie continuent doc
lentaire, de voter les quius
lu'ensuite les Tartufes gu.
ilemment :
t à vous d'en sortir.

LL01T.

t, dit-on, fort malade deli
position des ministres n'e:.
lîches.

souffrant pendant la dise®
bs discours de ses collège
suer.

Ington-Commons, les aget
nbés sur les ouvriers à coup
>olice d'outre-Manche a et
de frapper les grands coup

it de ses assommeurs, P
ieine à se montrer aussi

loi de poudre s'est ter®-
rectionnelles et par deuxa(
es ses poudres, le minisû
beaucoup de poussière

,te grande saisie des pou('r
les journaux ministériel'

e. Malheureusement,"11"

outes ces belles affaire*
deexploison.
du Journal des Deioti'0

1e le prince-général n J
popularité. Les 300 50
ias les seuls qui aient é'

d

Imp.J'AixÙfe 4C".

It BNVTtWt O ' KCYWUX.

Comme on trempe une arme de guerre ,

I hetis de son moutard voulant faire un héros
Le trempa dans le Styx dès qu'il vit la lumière ;

0e qui prouve qu un bain est bon a. tout propos

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