Le charivari (11.1842)

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'' à vous' à moins „

les que j'ai mis Js *e
aire rr,agniflque.a^

ce q«e nous avons ^

landiez séance (on
habits et p0Ur ie anle

s n'avez pas besoin

e chambre,
ire est très mal p
,manQ «'en fait p '
ne cosaquine en cache'.

jnner le temps de respi-
un reve ou d'une m{,

e Propriétaire;àsavue

™es, carie bourreau
tde vous faire sigaifie
e forme :

je vous dérange, dit-il
amis on ne se gêne pas;

: qui me procure l'hon-

r monsieur, quel ton cé-

vous ne pouvez pas res-
er que vous m'avez en-

j'aime à faire les choses
; formalité, avouez que
! l'aurais voulu,
aer?

appartement.

avez pas vous contenter
5 descendiez au premier,
jartement est superbe...
, j'y ferai ajouter deux

i tout au plus pour mil

n'est-il pas là ? S'il vous
e vous donnerai ma ga-
fériez acheter au comp-
isposition. Sans adieu,
nlever l'écriteaudupre-

et vous ouvrez votre
d, le premier avril n'ar-
ibre. Il n'en est rien ;
s qui vous arrivent à la
ntir la faim qui vous
votre montre et midi à
pour chercher, comme
se à dévorer, sans savoir
ar votre bourse est vide
Villemain.

eau : vous courez ouvrir
isse sur le béret blanc
âge. C'est la huitième
îportuu moutard vous

5 demander...
urs même refrain ! Eh

je viens, cela ne presse
msieur que nous avions

morceau pour son dc-

ïïagnifiques ?

araît au bout de vingt
splendide et d'une bon-
Dusieur veut-il comman-
da jour. » Vous fa! 8
mets dont le Ciel vient

nmel'aditLaLontatn.

ut l'exemple en s arda
fait pour mériter

3e me surprend d'autanj
alument rien ; mais

^enTueSÏ^
lté à la 4» PW-I

Auieçu de ce M et montez a cheVal : hatez-vous 1 cherchez suri avenue cle Nemlly

me cita.cime jaune, stores "baisses, cheval nis, vieux cocher - 10Ô - une seule lanterne
allumee .

Suivei 1 on arrêtera a la petite porte d'une maison de S ablonville ; un homme et une femme
descendront - Cet homme était mou amant - Et cette femme ,c est la vôtre I ..

ChezEmiev R.tlttCroissant 16

0

Imp.d'Aulitrt 8. Cv

FOURBERIES DE FEMMES .

Iai rftït ^ç\Af\mçu\

2e Serie . —

Par Gavarni