Le charivari (11.1842)

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V'i:



«'ÎSSSÏS


Par Gavarju

ls seraient venus préside:
lté, on peut le dire, parlai

ministère du cornu»
sont allés aux eaux, &
>nt tant de choses à ta

lorsqu'un député du cert
) au ministère, il troim
■n dépit du nombre des a.1
3es présens,
ilieue que tout autour 4
sur les routes des excin
nageurs. Nos embastiller'
lans la lune, sans en fc

qu'ils n'ont besoin 1®®'

;asse-cousk leurs che«®

at prêcher d'exempt
5 détours.

a mérite,des accé-
da Nord, où deux c e
a déjà mérité son

t pas le diable. (RUmeJ
ue j'ai dit, les deux^,',
le but que notre corna i
tre but à tous esUe J
>r, en latin,vinsedu,;A
>n lœti/icat cor hominiA
vmellement que notre
ellent désormais cotaiy

idopté, toujours al'®
corruption fini-colle,
-On comprend en «|
3ir besoin de se croise^

•,èdent sont plus ou m
journaux grave*, de
îeupés de la question i
, d'autant plus vif om
inée, et que les

veam \\

?raves n'ont oublié qtf0lti
us importante. Semblât,,
qui n'avait pas songé ài
gé de nous apprendre qi
ni-colle est desWné à m
t qu'il soit destiné à
îrait encore bien possible,
ie humblement ces boni
• bien se rappeler quelt
teaucoup à faire. Si, grfe
ut jamais débarrassésdi
■s sans nom des restau»
i et si mal réparti qui pis
i parviennent k mettre le
inues, des chaleurs eiagi
il nous faudra avouer qv
aussi utile, depuis ce»
inçais qui refusa, dans 1-
Sirardin.
not de critique. Le cob
i président et par un lis
u et de La Salle. Je n'en
i mérite de ces messie®
a leur ait sacrifié M,

irriver d'autant pi"8
soin d'éclairer ces #

,s travaux de l'encei^

éclairée. .

i tuite à la i' PW''

uv\t ouiuut w^mi

C'est "bien gentil chez vous Monsieur Charles

ClieiBamer i" CH.. du Croissant 16
0

Imp. d'Auliiv'J. 8: C1E