Le charivari (11.1842)

î que la question
résolue. Surtout qu
ien résoudre.

l'une alliance
;e. Si M. Guizot

aire un triste

léchante brochure

uite à ^

Cliôz B auo er Cl Cx* E c! i t. R. du. Crois s ant 16

- Sapristi qu.plle averse' et pas Je fiacres .. an. quel "bonkeur.. yoiIê
omiiiDiis ... conducteur arrêtez! Complet ' . -Sapristi!

la un

LES RUES DE PAÏUS

emPs, ont piUs

és

°yables à l'yard ;
tay0ir C0Q<lamné ,

asoudrdixaC

- > vaudra mieUx 5e

qui a l'honneur 4
bien peu de ressource
,uvrir et ^ire adme
as une légère circons.
acile de prouver qU',|

qu'il s'est donné
«ctime,^ou

accinée, etc., elc.
corps par la main de
lir à c°nserver du ®0.
'audience, et il peuUi,
'és, une condamnation
qui sont ornés de fo.
éclairs terribles sur ls
upable !

ry a déjà sauvé la têle
rrivé à un total de cin-
cent mille francs d'à-

lent dégrever les con-
, les amendes des jour-
)ins je crois qu'on se
une opinion qui peut
vous jure qu'elle esl

si l'on s'imaginait que
lgence si étrange pour
ir suite d'une philan.
t la peine capitale uni-
lu dire dans la société
qui sait le jour où l'on
nblables. Or, les jurés
ut à bien dormir,
ts enlevés k leurs tnè-
>rive de petits entas,
;ruellement.... tant pis
grands crimes qu'on 1
antes ? La preuve, c'est
ls n'auraient pas besoin

; bien différent : pour
ur un mot, on les em-
jusqu'à présent on ne
ous voyez donc bien qui
leur bonnet de coton le

[ue, si j'avais de la v»
ilume pour prendre m
ttre un petit article, ji
:1a me rapporterait beau-
ent moins de danger an-
..Mais je n'ai pas la»