Le charivari (11.1842)

ensée de ce dk„„

Jk fort belle, n'esté
amour-propre n>

*vrrque leC

Jle hauteur,„iàs e
iPiègnë, dùcepeû^j

jser convenablement la

b Cologne, quec,
renouvelle cette céré
n est composée qDMt

Placer une seConde

Pvonàe de ceUeé^

voilà pourquoi on l'a
|du monde. Le diable
» a fourni les plans d(!'
line. C'est sa fantaisie,

3 Prusse de s'écrier, la
mons l'œuvre de nos
là est de ne rien conti-

is s'est terminé parces
lie de Cologne ! » {ja
sur savoir ce que von.
3nte individus parlant
vingt-trois langues ont

3 successeur du roi de
première pierre de la
■obablement ce que si-
laaf.

Nemours n'a pas eu
• Gela lui viendra peut-
f le duc de Nemours,

ramage.

ludeville en un acte,
te.

iprès du lac; il jouit
cuisinier; il est meu-
t, orné avec goût. Tout
s vins y sont vieux e!
; le maître a de bon-
îtions et de courtoisie;
parfaitement si on y

ouvert aux voyageurs
i ignoré dans cette ville
;. Il a été bâti par un

3t,par conséquent,peu
en province. Ah ! s'il
pu bâtir des hôtels i

notre aubergiste, a été
aille francs pour ache-
ge. Son oncle les lui a
3 arrive, l'oncle arrive
it Romilly ne peut M-

i pas encore vu unvc

complique d'une cou-
s. L'oncle est un w-

ii n'entend pas donna
que. Seul avec sa M
;e son neveu à vendr
nbourser la somme 1

quoi il va le faire®'

otre jeune auber|s^
:oute son ancien d
rces et d'imagin»' •
e avec sa troupe el '
mbarras amoare^

it son secours et sa P

;eurS, son hôtel nes«f

tôt déguisé en bar J