'eur très eoatianie.
évY» lui ne man ' -,
q^i n'est paSUQ K
n» 11 ne conserver»
grandes rames aA pl»!
> chiffons de papie[Jt
eve leur valeur p »■
ublication approch !'
nvain dans les e^1
ffre toutes sortes de,! /
ÏT PaS ^
5n P"nce et se laisse
journaux regorgenu,
cteres, et de réclame,
t a l'ouvrage ua J
e 1 auteur lesarédh
e le reste, sont payée,
el les paie en boa ar»i
i jamais rien. 6
ire de la mise en ven,t
. L'Editeur-Marron
puisse entasser l'édition
plaires par douzaine t
aires qui les refusent
■Igré, chez des étalagisi
ne temps,il visite les ptj,
ecommande l'auteur, »„
icouragé ; le lendemain
ippelle leur bienveillante
m/i en ce et,,,, vous savçi
îe se vend pas du toi
n, découragé, va ferma
ît moins facile qu'il n'en
ien éloigné de cette peu-
; à la recherche de 1%
lication lui a servi à s
des journalistes.il romp
u'il accuse d'être un in
il s'adresse, cette fois, L,
ne par l'impertinence à
sa conversation. On h
i; malheureusement, il
>te toutes les clauses di|
ede l'argent comptant):
nés de plus d'acheter i
lelk de ce qu'il ne vaut
le sont tous, aime mien
af a les faire escompta
anle pour cent,
sur ce calcul que l'Édi-
s. Il trouve donc, sansli
iaire pour toutes les pu
ière échéance. Là estli
>p confians fournisseur!,'
té de ses entreprises l't
ortantes qui ne peuveii1
îement. Il continue don
s, partant de nouvelles
pas en mesure de ren-
és poursuites. Après bien
mvrir le domicile aeM
sr s'y présente pour é
étonnement en trouva»
ugle, une paillasse etu:
a la ressource de mette
lis où il n'y a rien, k
ninisest veut du m»
1 est trop'tard : WjWJ
îles catacombes de 1*
; le volume, ou. j
tour y être disséquée,
eux style),
tif et habilement
pour trente nulle Ç
,ur cent de perte.»
de mille éc.us.
quand le crédit et le
l sont usés J»?11
leur ou garç°n j
encer par la, da
ence de se fier à
r anglais s'est \
ite à la 4e P0^
FOURBERIES DL FEMWE5
i ta .
Ot- V ' '
———— l . rsfi-K'.
i .if .
| t! ■
m
::
Qu'est- ce que cest que ce Mosieu qui sort d'ici ?
' mon Dieu il ue t'a "pas parle [\ c'est un Mosieu qui venait pour l'affaire
d'Aneelin et qui part ce soir il t'a attendu pins de deux heures !
mais comme tu as cKaucl,ma fn cke1
w-Yeml, clin Bau°er Je Ci' Editeurs des Dessins delà CA R ! CATU R E du FI Gft R 0 et du CH A RIVAR I Eue du Croissant N! 16
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' mon Dieu il ue t'a "pas parle [\ c'est un Mosieu qui venait pour l'affaire
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w-Yeml, clin Bau°er Je Ci' Editeurs des Dessins delà CA R ! CATU R E du FI Gft R 0 et du CH A RIVAR I Eue du Croissant N! 16
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Fourberies de femmes. En matière de sentiment.
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Objektbeschreibung
Bildunterschrift: – Qu’est-ce que c’est que ce Mosieu qui sort d’ici? – Ah! mon Dieu! il ne t’a pas parlé?....c’est un Mosieu qui venait pour l’affaire d’Ancelin….et qui part ce soir….il t’a attend plus de deux heures!....
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1842
Entstehungsdatum (normiert)
1837 - 1847
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 11.1842, Septembre (No. 244-273), S. 1015
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg