Le charivari (11.1842)

«Province ai
re qui coni
t p;,y:r ce pet
'• « Tiens! il

lie~ià— Oh »

l|S donc clairj

ommune, étant i
es administrés lui
•ent graver en grc
Paris. »

nDomergue était
ni menaçait de le
lui dit : « Si vous
ous observe que.,
i moribond, transf
t bien assez de m'
n'a mon dernier 1
s solécismes. Va-t\
osité, l'abcès crèvt
solécisme, l'irasc

mandait à Sophie a
Lh! q^lle plate-ba.

comparaisons, à k

?"'et qui échut à ua
'tces mots: Carotte
Toutes les deux me


lui avait peu d'esprit
! être sans cesse tour!
! madame, lui dit en
est bien facile de les

t, au nom d'unepeti-
Jtations à S. M. Geor-
ge, termina son dis-
règne aussi long que

, répondit le roi, duo

général Custine dans
imp, Baraguai-d'Hil-
■ que ses soldats se
entre les doigts de
aguai-d'Hilliers s'ar-
t Cusline; c'est tout
iporté. »

t dans la même jour-
e Déjazet; le lende-
! s'écria l'artiste, il
ua sot en trois let-

arathon, où il avait
et obtint une cou-
se trouvait dans l'as-
uand vous repousse-
•nera une couronne

lis, après avoir eu la
îs, et marcha avec,
îs ? dit une personne
le, deux lieues, cela
lame plus spirituelle
ùons il n'y a que le

int prié madame de
de lui obtenir une
cette dame lui dit :
reux, répondit le jé-
ères. —Vous vous a-
fois des aumônes au
i tant de crédit ! ré-
croyez. —Ah ! dit le
n que j'ai l'honneur
du crédit dont elle

iourd'hui comprend
enir par M. Maun_s'
•dérieuses que don

zar Bonne-Nouvelle.

nusant spectacle! que
irisiens, il y « ^
ès de grands succè
*ne, il est venu éto
"aile construite P°"r
, l'on dirait que M'
a tour des chapeau*?
plumes, opère auss
s spectateurs.