Le charivari (11.1842)

,la> laveuveavait fa.
df ®0uper à la ;*S
"l ^es at>attis daJ'
nvahl le jeu?! »»
te do la jeune et aj

r§eau, et celui_ci
mes que des dem^'
le'àla veuve cS 4
ince peu active de",

Sïïï^î"<i

irJe jeune BoUvar()

D de ses milljons

eule. Fargeau n'est »
Jeannette est coumh
d'Allorl Eo
*lut, le mariage i

re Bouvard, réclames»

aie de l'injure Meàsi

me comme onn'envoii
voit pas. Il estenchaS
les femmes, s'enivrer
t, lai semblent les ^

riage de son fils, y
argent pour réparation
eux garder vos poules.»
r et pour la morale,
i ûls et une fille. Cel|;
is, ami de Fargeau; g
1} conseille au marquis
; il lui prête même n,
l'enlèvement est opéré
isse telle et telle chose,'
trouvez-vous la plaisait

la porte et courent

âpre

)uvons chez la duchess
îarquis, ravisseur de I

iar un secret qui se d(
î moment, Fargeau st
sse les fureurs des Bou-!

le à la duchesse ce que
ouvard, c'est-à-dire ré-
par le ciment de l'hy-

îs prétentions du bour-
i fils à la fille d'un liera-

: de Fargeau: il a lepro-
ard, et ce projet ne peu!
irquis avec la fille Bou-

l lui rappelle que Jean-
! a été séduite aussi dans
de Fargeau, unnonmi
manière délicate et plei-

>ut simplement George!-
i posthume (les soldats
ent toujours des lettres),
1 la duchesse, et la chai-
i bonheur,
le embrasse Jeannette
igner deux contrats aux
Citations, Jeannette de-
Bouvard est créée m»'*

idra son rang parmi is
urait lui adresser aucun
avec une symétrie F'
[ mérite un certificat d
ujours, et ou est gener
it bien se contente
bés

ouéle rôle deFargJi
jersonnage, qui.s 1 ,,

e Olivier est fort ge*

Opéra-Comique sa t
le MM. Leuven et t
a musique de M. A.
ine salle comble.

LIS LttB&lTCS.

30

G avarni

Clie7, Raujje\ R. du Croissant,16.

iïïij;, c AvVti

\\\iw \\ v: si \oVi op. \a. k i a. i e é, s\ qj

vit \a Menle

'0\