Le charivari (11.1842)

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le impulsion,. lil111.

!rs du Vaudeviiu ,
a^'on dont noVj

toutes parts on

du%tndCeviUeC°nféré4ï

leur le ministre, c'est qu'^

eter: votre autoritéprote,,
d<3 reformer eUe-mi'.

CG ■

aviez inveati M. ËUenne

împressé de la reconnailre
idus. 1

les faits, monsieur le mi-
pour surprendre à Votre
iu temps où nous vivons'
irbitraire.

ne, ou il compromet aux
nom et le titre dont il est
lo donner ce qui appartient

nous a coûté 800,000 fr,
yrai, a péri dans i'incendic

érêt, monsieur le ministre,
oindre des fléaux que noœ

nous à acquérir, à eonser-
ville que vous donnez à il,

. confiscation est abolie pu
vous qui voudriez la réta-

, à votre connaissance, pu
as, ce droit que l'on vieil
s acheté d'une société qui
; actes en témoignent.
. en ajouter d'autres pour
. Bourse; les frais seuls à

ntie entre les mains des

vard Bonne-Nouvelle a fli-
rtes sans lesquelles le thé-
ter.

s d'autre sallê; celle delà
être livrée qu'au 1er mai
ore l'interruption du sptf>
six mois, chaque acteur re-

15,000 fr. de pensions an
re, trouver parmi nous®
assurer ce service àl'avt-
;t des retenues,
aintenu et perpétué 1®'

fallu pourvoir, et si note
emprunts, aucun deCSh

lous-mêmes dans la
ité du théâtre du V«j
ineur par l'aiitorite J „ _
depuis par 1 ordon r.lis
par nous à titre oner®
a par vos prédécesseurs,

jnsentiriez à nous dép00'
r notre héritage tranq"11
X^uenousaviJ

votre signature po® ,

• à jamais le maitie-P

louvelle !
i suit* à la ^

EMOTIONS PARISIENNES.

Chez: Bander Pi.iu Croissant.. 16.

i A

Ma. -patrie, a moi? c'est la semelle de mes bottes hélas je n'aurai bientôt pins de pairie.

cl'Aubert & C"