Le charivari (11.1842)

le capitaine'^91'6
esse comme^u-

ste souverain/"5'

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û'er ministre p"
' lnstallant avP '

secrétaire dp 0

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itant Procéïw

ce mystérieux pe^'

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qui vient s!
PMets diffamatoirJ

a naissance de Ia
lui objecte le Céré
:s statuts de a
""butions du maïî
?, lroU'.Pasmême

jt 11 a bientôt une

he'l s assemble ;les
i; ia comtesse de

:ine ; mais ou fait
on le renvoie gra.
' î1, est chargé d'é-
e blason comparés,
t veut que chacune
fleur déjà écartelée
ls Pour celles qui
ÎS> des mains san-

iconvenu retrouver
nthal, il arrive d'é-
i Eric se prend d'à-
•rberg son collègue,
Jortefeuilles n'aspi-
e major Palmer est
re Éric, qui le fait
affectueusement, et

le lui fermer provi-
si rendez-vous pour
aque, et lui prépars
•, s'il se rend chez le
édiatement. Il y a
e déportera pas aux
(i revenu, et qu'on
itives.

intentions ministé-
berg, lequel comte,
e soir même, ne voit
îystérieux inconnu,
iù naît l'aurore. Ce-
ier.

uverons la comtesse
Wilfrid. Wilfrid est
s soirs chez lui;on
n ? Wilfrid est donc
nt. Sa mère l'inter-
ouchante ingénuité
itons, ceci est indis-
frid, qu'il ignore en-
Le prince Hermaim
auquel il veut tout
use, sans même sa-
i'ignorance l'excuse;

un bon nombre de
Stockholm sous le
i chevaliers sont des
'être tous, à l'instar
■is de S. M. Ulrique.
irait à son bal, et
ment pour cavaiier

, fleur correspondant

e a choisi pour fleur
son genre ; comme
acheté toutes les w-
l'un des chevaliers
er de posséder le g0

m d'un talisman de-

LIS LQRÏ.T'm.

'en mêle, et
rose Dorothée, ®'s

Qe, revient en défi"1

à la 4« pa9e->

Ckei îauôçr K du Croissant 16.

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