Le charivari (11.1842)

de la censure om, ^
pièce a de nombreux dy.
en est large cl hat
leur sauvage du temps ^
l'action aiin de ponet
la pensée en proela^
certains yeux. Etle w
antipathies, n'a pasVo«,,
véritablement reproché
inusitées,
à la lecture ;
que ce drame,
plus de sérieux et triiti;,"
- dans sa

JJ0t

lojp.


matérielle qu'jj ,

cju.au. a l'idée poUr Se(\
donnait pas la voix;f

Peu brutal Je cosj'1'
• Un accident grave

après avoir retardé le le,

singulièrement h las N
détail conspirait contre,

a manqué,
point, par une

fâcheux. La représentai
>ent de vorr k quei 0>
1 examen des théories,1
L'espace et Je lej®

convenablement.

sur la donnée générale iti

a été dépossédé de sesfi,
, qui, pour s'asWer|,J
îuye du vaincu. H «g
int a disparu daqs le tu
arthor, seignpur nonvégieiil
Je, affirme qu'il a péri y
néanmoins, on égorge to
lette précaution prise, le co-.
la Norwége,qu'il laisse

son père, est non pas a
voyagé dans les pays di!l
de gouvernement tout lit
de la force. Il est
ergé, qu'il associe à ses ml
poignard sûr et secret »

deviné la fraude de Berlk,
ceptre, s'occupe de détruire 1
à lui opposer. 11 se
est vivant encore, et toi»
pour le découvrir.
ii emploie est un esclave»!
plus précieux qu'il a libre»
thor, dont Thorer se

fille Switha.
norwégien ; Berthor l'accueil
par sa fille. Swillia estt
édric, sans connaître sa nott
généreuses impulsions; il s
servitude l'a laissé tel. kus
pour le compte de Thorer,ti

lui-même k côté de la sait

vvégiens, il entend retentir*
)les, son cœur s'anime elJ-
précieux germe. Et1®1
le rideau qui le cache, 4
, Cédric, l'esclave,
le prince Egnar.seW
a subite. .La révolte ed
assis sur le trône.®6]
nar lui laisse la vie : etso«

;de politique se promet»®

sceptre qu'il a perdu,
série de développe^ »
Pyat de nous montrer s ]

l'exercice périlleux M,
vertus instinctives, ,
les qui naguère avaien P

à favoriser tous les
tous les mauvais
et l'enivre en lui _
ees plus coupables volonté1,
achète le pardon du Ciel ;
d'un peuple tyrannisé "
données aux fêtes, ■'
• Egnar, énervé par1'1;'
>urbe ennemi. Il faitjeW ^
premier ministre, intèf-' J
Switha^ qui s'était cac^ "j
"éder à l'amour du jeu"^,
(La suite à la M*1

LES FEMMES DE PARIS .

ra» ïhujei- 8; SjTef|t5; .R. du Croissant 16.

Tirrp. d'A'ubert &ICle

*•

LE IVI ODE LE .

Monsieur vent-il voit Y ensemble \

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