ae dire, ce qui jui
roman apprise ia '
oureuse qu'il possèJ
! nuances et ne sp i» 1
■flkire 11, grij,,'™»
ité de séduire une m
une princesse aSnQ,
ai n'est tout sjmpI(^
s organisations
gloire, et que le h,
mari sans l'aimer- à
« pas un épicier
llustration, un génje
is loisirs d'épicière'ii
•us le nom de Mme
i courus, et quand ils
ressource d'en faire J
femme comme mada®,
tismond, il doit y av
îcier Dumoulin doit von'
un particulier extrême,
e pas plus Dumoulin (]„
)n nom d'épiceries^
;en littérature ; car il ffi;
etail, ainsi que vous 1(
imoulin que sous le oon
li confier son amour po®
ait d'un pareil aveu, il
i et de coups de poing,
3t poêle, se conduit d'an-
ibre à son rival, persuadé ^
jt son erreur. L.
iigismond sur le costume Z,
Même siècle. Sigismond, ,
i du jour, ne répond rien,
ate de la mort de Marie^
mond. Mais l'épicier Du- ^
t répond pour lui à toutes g-
écoutant son épicier ra ^
t s'aperçoit que Dumot- ^
pas seulement très vers uj
lis qu'il est possesseur è
Dtôt elle apprend que soi
ne elle est femme delet
'est son mari qui ea rend
e découverte boulevers
jrique, elle met à la poils
indre la tendresse conjt
ur.
iement joué, surtout pi
tation manifeste des dîn-
era vivement applaudi pu
ellement le sucre, la car-
nd à prouver que les épi-
tbles hommes de lettres,
! seulement que les lion
le fameux épiciers.
a été exclusivement mi
ms les fêtes, ce sera te
ibre.
>rdées hier dans les
e, le gérant de la Ga'~!
nême jour, à deux anm
quatre mille francs <f
>
mite à la 4e pa(le-.
o- ■
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roman apprise ia '
oureuse qu'il possèJ
! nuances et ne sp i» 1
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ité de séduire une m
une princesse aSnQ,
ai n'est tout sjmpI(^
s organisations
gloire, et que le h,
mari sans l'aimer- à
« pas un épicier
llustration, un génje
is loisirs d'épicière'ii
•us le nom de Mme
i courus, et quand ils
ressource d'en faire J
femme comme mada®,
tismond, il doit y av
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un particulier extrême,
e pas plus Dumoulin (]„
)n nom d'épiceries^
;en littérature ; car il ffi;
etail, ainsi que vous 1(
imoulin que sous le oon
li confier son amour po®
ait d'un pareil aveu, il
i et de coups de poing,
3t poêle, se conduit d'an-
ibre à son rival, persuadé ^
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iigismond sur le costume Z,
Même siècle. Sigismond, ,
i du jour, ne répond rien,
ate de la mort de Marie^
mond. Mais l'épicier Du- ^
t répond pour lui à toutes g-
écoutant son épicier ra ^
t s'aperçoit que Dumot- ^
pas seulement très vers uj
lis qu'il est possesseur è
Dtôt elle apprend que soi
ne elle est femme delet
'est son mari qui ea rend
e découverte boulevers
jrique, elle met à la poils
indre la tendresse conjt
ur.
iement joué, surtout pi
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ellement le sucre, la car-
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tbles hommes de lettres,
! seulement que les lion
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a été exclusivement mi
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nême jour, à deux anm
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Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Les baigneurs
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Objektbeschreibung
Bildunterschrift: Une facétie.
Cocher! cocher! avez-vous deux places en lapins?
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Entstehungsdatum
um 1842
Entstehungsdatum (normiert)
1837 - 1847
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)