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Le charivari — 11.1842

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Juillet (No. 182-212)
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XJB C111W.WI,

— M. Monlalivet n'a pas voulu laisser à la Liste-civile
le soin pieux d'acquitter de ses deniers les dépenses des
funérailles. Le budget, qui paie toujours les violons, peut
aussi bien payer les crêpes.

— Les amis de M. Guizot se sont réunis aujourd'hui
chez un restaurateur. Là, comme à la chambre, ils auront
quelque peine à restaurer leur ministère.

— Toutes les feuilles ministérielles sont convenues
d'appeler petite session la session actuelle. Petite session
deviendra grande, pourvu que Dieu lui prête vie.

— Le ministère espère fermer la bouche a l'opposition
avant le vote de la loi de régence. Il ne réussira pas
aussi bien a lui fermer les yeux.

— M. Sauzet persiste à se porter candidat a la prési-
dence en dépit des antipathies. Pour la première fois de
sa vie il pourra se trouver brossé.

— Les feuilles ministérielles assurent que la majorité
constitutionnelle porte M. Sauzet. Il est possible qu'en
effet, elle le porte sur ses épaules.

— M. Sauzet serait très affecté, dit-on, de ne pas être

réélu président de la chambre. Le fait est qu'il n'est pas
homme k s'en laver les maies.

QUESTIONS POLITIQUES.

50 juillet.

M. de Cambis a deviné d'emblée: « Quand un homme
qui galope à cheval a l'air de courir à pied ? » —
C'est quand il monte un étalon, a-t-il dit à M. de Strada,
parce qu'alors il court sur Vètal'on (sur les talons}. »

M. de Salvandy a demandé k M. Monlalivet: « Quels
sont les Espagnols les moins généreux ? »

OHARADÈ.

Dans mainte plaine on s'applique
A récolter mon premier ;

Sur mon entier la musique
N'est pas toujours mon dernier.

Le mot de la dernière charade est Chape-laine.

Le gouvernement vient de souscrire pour plusieurs bi-
bliothèques, au bel ouvrage que vient déterminer M.
Contant ; le Parallèle des Théâtres d'Europe est un tra-

vail sérieux, et l'on sait que M. Contant a exposé cette
année, au Louvre, section d'architecture, ie plan d'une
nouvelle salle d'Opéra pour Paris. Si ce projet, pour le-
quel M. Contant a indiqué cinq place* principales comme
propres à cet élalilissement, venait à se réaliser, ce serai!
une page de plus a ajouter au livre dont nous parlons.

opéra. — Relâche.
français. — Relâche.
opéka-comique. — Relâche.

vaudeville. — L'Anneau de la Marquise, •—La journée

d'une jolie femme.
gvmnase — Prcrri. représ, de Taîrm en congé,—la Mar-
raine,— la Roche noire, —■ Une Jeunesse orageuse.
variétés. - Relâche.

palais-royal. —Du Haut en Bas,— Francine.
porte-saint-martin — Les Marocains,—la Revue,—Di-
vertissement.—la Lanterne.
ambigu.— Paul et Virginie, —Cardillac.
gaité. — La Salpétrière.

folies. — Postillon, —Au Croissant, — Sainte n'y touche,-
Triboulet.

cirque des ciiamps-elysées. — Exercices d'équitation

danse et voltige à cheval.

seances de m. piiilippe.— Palais enchanté, Bazar Bonne-

Nouvelle, séance les dimanche, mardi et jeudi.
salle saint-Georges.— Bal les dimanches, lundis et jeu-
dis. Prix d'entrée: 2 fr.

Le gérant, iéopold pannier.

Imprimerie lange lévy et ce, rue du Croissant,1G.

DICTIONNAIRE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES

PURES ET APPLIQUÉES,
par une société d'anciens élèves «le i'Êcole Polytechnique «

0OU6 lit îïircction k 52=. 8

Avec de nombreux articles de M. PUISSANT, de l'Institut, de feu de Prony, etc. — 3 vol. in-4° à 2 colonnes, 500 gravures dans le texte et 80 planches. Prix : 48 fr.

Ce Dictionnaire, répandu dans tous les pays où la science a
pénétré, est une véritable encyclopédie mathématique ; il réu-
nit un corps de doctrines et un répertoire complet d'applica-
tions. Sa partie théorique contient l'exposé des mathématiques
pures dans leur ensemble et dans leurs détails, depuis la philo-
sophie transcendante de la science jusqu'aux plus simples élé-
inens de l'arithmétique. La partie d'application s'étend aux

sciences physico-mathématiques et autres ; elle renferme des
trailés complets : 1° d'astronomie, d'acoustique, d'optique gé-
nérale, de mécanique générale ; 2° d'arpentage, d'architecture,
de fortification, de probabilités, de gnomonique, etc., etc. Les
articles composition de machines, chemin de fer, machine
à vapeur, bule.au à vapeur, locomotive, turbine et autres,
qui empruntent aux découvertes modernes un intérêt d'actua-

lité, ont rrçu d'amples développcmens.

Le tome 3e (supplémem), qui est consacré plus spécialement
aux applications, se vei.d séparément et complfte l'ouvrage
pour les personnes qui ont acquis ta première édition en deux
volumes.

Chez M. B. DUSILLION, rue Laffitte, -10, à Paris.

PARIS AU DIX-NEUVIEME SIÈCLE,

RECUEIL DE SCENES DE LA VIE PARISIENNE

«lessêsnce® d'après saatjaire |iai<

MM, VICTOR ADAM, GâVARIil, DAUMÏER , BOUCHOT, EOURMT, PRUCHE , LEPOITBVJN,
PROVOST, RIGO, tORENTZ, CÉLESTIN NANTEUIÏ,, CHAI.AMEH,,

TRiaVlÈS, HENRI MONNIER, JULES DAVID,

BENJAMIN , DEVÉRIA.

48 pages de dessins en lithographies et 200 vignettes sur bois,

avec un texte explicatif par

mm. albéric second, rura1 de gurgy, jaime, ém1le pages.

Paris au 19e siècle forme un album magnifique de 9G
pages grand in-4°, où l'esprit du texte lutte avec le mérite
delà lithographie.C'est plus qu'une publication éphémère,
c'est un ouvrage écrit à la façon des romans de Le Sage,
où les mœurs contemporaines, les ridicules du jour, les
habitudes de tout le monde se trouvent reproduits avec la
fidélité du daguerréotype.

Nul doute que le Paris au 19» siècle, après être resté
comme albunr sur les tables des salons, ne prenne place
dans les bibliothèques ù côté du Gil Blas et du Diable
boiteux.

Voici les principales lithographies qui ornentcerecueil :
La Salie des Pas-Perdus.—Le Bal Musard.—Le Jardin du
Palais-Royal. — Un Étudiant. —Le Marché des Inno-
ccns.—Course au Champ-de-Mars. — Une soirée litté-
raire.—Le Luxembourg.—La Loge du portier.—l'Esta-
minet.—Le Pont des Arts.—Une déclaration.—Le Bou-
Se vemS cSnez et

levarddu Temple.—LesTitis.—L'Écrivain public.—Un
Tourlourou—Les Gamins de Paris. — Une Croisée dit
faubourg Saint Jacques. — Une Leçon de danse. — Lt
Mardi-Gras. — Le Pâtissier à la mode.— Le Marchand
de Beignets.— Le Bois— Les Balayeurs. — Betour du
bal.—Les Alsaciennes.—La Cuisine.—Bevue au Champ-
de-Mars. — les Matelots parisiens. — Le Dégraisseur. —

Le Café en plein vent Le Foyer d'artistes.—Le Musét

un jour d'étude.— Les Chiffonniers. — L'Antichambn
d'une grande maison — Un Bal costumé. — Une Soirée
du quartier latin. —Une Ondée. — Une Promenade. —
Les Environs de Paris.—Une Leçon de musique.—Uni
Rencontre au bal.—Le Singe savant.—Soirée travestie.
—Après la contredanse. —Jour du départ de garnison
— La Cour des Messageries.

Prix ^broché. ...... 2i fr.

relié 28

Ce, rue «Sua OolgssMat, sa0 16.

A Paris, chez e. duSillxon, rue Laffitte, 40.

SUSSE PRATIQUE

POUR L'ÉTUDE ET LE TRAITEMENT

DES HUMES DE LA PEAS

Par gir&tjdeau de saint-GERV; 18,

Docteur-médecin de la Facullé de Paris, ex-interne des Hôpitaux, ancien M®
bre de l'Ecole pratique, Membre de la Société de Géographie, de la Société
pour l'instruction élémentaire, etc.

Un volume in-8°de 700 pagres, avec portrait, et S planches gravées sur acier,
représentant trente-deux sujets coloriés. Prix : C fr. et 8 francs franco,
sous bandes, par la poste.

Coup d'œil sur les doctrines médicales ; De la peau considérée dans sa texture
inatomique ; Précis historique des maladies de la peau ; De la classification des
naladiesde la peau ; Base de la classification de Plenek (1776); de AVillan (1798):
le m. AJihert,-de l'Krysipèle ; Rougpole; Scarlaiin<* ; Urticaire ; Miliaire ; Gales
icabies ; Variole ; Vaccine ; Mentagre ; Prurigo ; Elephantiasis des Grecs ; Teinte
bronzée delà peau; Ephéli 'es ; Albinisme et Vitiligo ; Lupus. L'auteur décrit
nsui e avec le plus grand soin les ulcères dartreux, variqueux, cancers scrofu-
les, chute clesclieveux et de la barbe; et après avoir cité les méthodes les pP,
en réputation, il Indique le traitement qu'on doit suivre pour guérir les SypbJ-
lides; Eiuptions; Contagion syphilitique; Formulaire; Table analytique dé-
taillée; Syphilis, poème, par B rthélemy ; Analyses et comptes-rendus ; Traœ
les maladies syphilitiques ; Voyage en Orient, par Giraudeau de Saint-Gervaii.
'lanches coloriées représentant les affections de la peau.

Chez l'auteur, v sible de dix heures à deux heures, rue Richer, 6, à Pans.
— Consultations giatuites par correspondance.

Maladies Secrètes

TKâlTEMSIT du Docteur

CH. ALBERT,

Médecin de la Facullé de Paris, maître en pharmacie, ex-pharmacieo des hôpitaux de la
*ille de Paris, Professeur de médecine et de botanique, breieté du GouternemeBt
Français, honoré de médailles et récompenses nationales, etc., elc.

Les guérisons nombreuses et au-
thentiques obtenues à l'aide de ce
traitement sur une foule de malades
abandonnés comme incurables, sont
des preuves non équivoques de sa
supériorité incontestable sur tous les
moyens employés jusqu'à ;ejour.

Avant cette découverte, on avait à
désirerun remède qui agit également
sur toutes les constitutions, qui fût
sûr dans ses effets, qui fût exempt
Ides inconvénients qu'on reprochait
] aveujustice aux préparations mercu-
I rielles, corrosives et autres.

Consultations gratuites tous les jours depuis s h. du matin jusqu'à 8 h. du loir,

iRue Montorgueil, es sily Maison du ConGieur, «a Premier.
TRAITEMENT PAR CORRESPONDANCE ( AFFBAHCOTR).

Aujourd'hui on peut regarder
comme résolu le problême d'un
traitement simple, facile, et, nous
pouvons le dire sans exagération,
infaillible contre toutes les maladies
secrètes, quelque anciennes ou in-
vétérées qu'elles soient.

Ce traitement est peu dispen-
dieux, facile à suivre en secret ou
en voyage et sans aucun dérange-
ment; il s'emploie avec un égal suc-
cès dans toutes les saisons et dans
tous les climats.

pl&n db paris EN W[2.

Ce plan, tracé sur une feuille de
papier grand-monde, est le plus beau
et le plus exact qui ait été publié. A
droite et à gauche se trouve, par or-
dre alphabétique, le nom de toutes
les rues de Paris. Les fortifications-
sont présentées à part. Uue très belli
vue sert d'ornement à cette Carie.

Chez B. Dusillion, éditeur, rue Laf-
fitte, 40. Prix : 2 fr., et franco, sous
bande, par la poste, 2 fr. 20 c.

PRALINES DARIES.

Nouvelles capsules de cubèbe pour
guérir radicalement en peu de jours
les ECOULEMENS ANCIENS et NOU-
VEAUX. Prix: 4 fr. Bue Croix-dcs
Petits-Champs, 23, et à la pharmacie,
rue .1. «î.-Rousseau, 21.—Traitement
par correspondance.

POMMADE PERKINS ET DUPUYTRIN,

POUR FASRE POUSSER LES CHEVEUX.

Cette pommade, d'un parfum doux et suave, est composée de moelle
bceuf et d'extraits végétaux les plus en réputation pour l'entret'en clesclie-
veux. Par les élémeus qui la composent, elle rend les cheveux souples, bril-

lans, de même que par ses propriétés toniques, elle en arrête prompleniefl
la chute, en vivifiant le derme où ils sont implantés. Elle aide la rialure a
les faire croître très rapidement, en remplaçant l'huile colorante qui circule

clans leur intérieur. Cette force de reproduction a surtout lieu quand le cm
chevelu s'est dénudé chez un homme qui n'est pas vieux, et qui a perdu ses
cheveux par suite dé travaux d'esprit, d excès, e maladie ou <te traitemens
mercuriels, de même que chez les femmes qui le- ont perdus par s rte Ie
couches, de lait répandu ou de long chagrins, elc. Ce cosmétique peut reffljj
placer toutes les pommades ordinaires, et si l'on s'en sert journellement,^
est certain do conserver une chevelure abondante et dont la décoloration sei
retardée jusque dans un âge fort avancé.

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Jean-Jacques-Rousseau, 21.

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