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Małkiewiczówna, Helena: Les vitraux au cycle des Miracles du Christ à l'église Notre-Dame de Cracovie
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.20616#0023
3. Bapteme du Christ, vers 1370-1380; Cracovie, eglise Notre-Dame, baie nil, panneau 10(l6)a
(phot. S. Kolowca)
23; Luc VIII 41-56)12. La robę du solliciteur, courte, sans
ornements, rappelant une tuniąue ne permet pas
d’identifier sa fonction. Si nous admettons que c’est tres
probablement le centurion de Capharnaum, la raison
en est, entre autres, que cette scene, meme sans illustrer
le miracle, trouve son sens profond dans les paroles du
centurion: „Domine non sum dignus ut intres sub tectum
meum, sed tantum dic verbo et sanabitur puer meus”
(VIII, 8), dans les paroles que le Christ adresse aux
apótres: „dico vobis non inveni tantam fidem in Israhel”
12 Brzuski (voir notę 2) a par megarde omis ce panneau. De
1’iconographie cle la rencontre du Christ et du centurion, entre au-
tres: A. B o e c k I e r, Ikonographischc Studien zu den Wunderszenen
in der ottonischen Malcrei der Rcichenau. Aus dem Nachlass
(VIII, 10) et au centurion: „vade et sicut credidisti fiat
tibi” (VIII, 13). L’illustration de ce miracle, limitee a
1’entretien du Christ avec le centurion en presence des
apótres, apparait deja dans la scułpture romaine de
sarcophages a la transition du IVe au Vc siecle, enrichie
de seniores Iudeorum - dans le Codę d’Egbert (Reiche-
nau, vers 980-984, actuellement: Treves, Stadtbibliothek,
Cod. 24, fol. 22) (fig. 5), reduite a deux principaux
protagonistes, et pourvue de 1’inscription dadentification:
„CENTVRIO" - sur un de bas-reliefs d’un autel portatif
herausgegeben von H. Jan t zen, Munchen 1961 (Bayerische Aka-
demie cler Wissenschaften, Philosophisch-Historische Klasse.
Abhandlungen, N. F., II. 52), p. 32, ill. 76; Miracula Cbristi. Stdd-
tischc Kunsthalle Recklinghausen 9. September - 14. Oktober 1962,
19
(phot. S. Kolowca)
23; Luc VIII 41-56)12. La robę du solliciteur, courte, sans
ornements, rappelant une tuniąue ne permet pas
d’identifier sa fonction. Si nous admettons que c’est tres
probablement le centurion de Capharnaum, la raison
en est, entre autres, que cette scene, meme sans illustrer
le miracle, trouve son sens profond dans les paroles du
centurion: „Domine non sum dignus ut intres sub tectum
meum, sed tantum dic verbo et sanabitur puer meus”
(VIII, 8), dans les paroles que le Christ adresse aux
apótres: „dico vobis non inveni tantam fidem in Israhel”
12 Brzuski (voir notę 2) a par megarde omis ce panneau. De
1’iconographie cle la rencontre du Christ et du centurion, entre au-
tres: A. B o e c k I e r, Ikonographischc Studien zu den Wunderszenen
in der ottonischen Malcrei der Rcichenau. Aus dem Nachlass
(VIII, 10) et au centurion: „vade et sicut credidisti fiat
tibi” (VIII, 13). L’illustration de ce miracle, limitee a
1’entretien du Christ avec le centurion en presence des
apótres, apparait deja dans la scułpture romaine de
sarcophages a la transition du IVe au Vc siecle, enrichie
de seniores Iudeorum - dans le Codę d’Egbert (Reiche-
nau, vers 980-984, actuellement: Treves, Stadtbibliothek,
Cod. 24, fol. 22) (fig. 5), reduite a deux principaux
protagonistes, et pourvue de 1’inscription dadentification:
„CENTVRIO" - sur un de bas-reliefs d’un autel portatif
herausgegeben von H. Jan t zen, Munchen 1961 (Bayerische Aka-
demie cler Wissenschaften, Philosophisch-Historische Klasse.
Abhandlungen, N. F., II. 52), p. 32, ill. 76; Miracula Cbristi. Stdd-
tischc Kunsthalle Recklinghausen 9. September - 14. Oktober 1962,
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