LE MUSEE DE ÎIARLEM.
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on y a vu entrer aussi, depuis peu, Drooclisloot, Ludolf de Jong,
Ouwater, Saenredam, Troost, J. deWet, Jan Wouwerman et quelques
autres. Chaque année ajoute ainsi à la gloire du grand Harlémois,
Frans Hais, dont le buste jovial nous souhaite légitimement la bien-
venue sous le péristyle commun de la maison de ville et du musée :
car c’est au milieu de ses prédécesseurs, de ses contemporains, de ses
successeurs qu’éclate plus glorieusement la puissance du vigoureux
naturaliste qui donna à l’Ecole hollandaise son impulsion la plus
saine et la plus durable, en la rappelant énergiquement à son vrai
génie, l’observation naïve de la réalité, l’emploi des couleurs franches,
l’amour des tranquilles harmonies.
GEORGES LAFENESTUE.
XX XII. — 2e PÉRIODE.
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on y a vu entrer aussi, depuis peu, Drooclisloot, Ludolf de Jong,
Ouwater, Saenredam, Troost, J. deWet, Jan Wouwerman et quelques
autres. Chaque année ajoute ainsi à la gloire du grand Harlémois,
Frans Hais, dont le buste jovial nous souhaite légitimement la bien-
venue sous le péristyle commun de la maison de ville et du musée :
car c’est au milieu de ses prédécesseurs, de ses contemporains, de ses
successeurs qu’éclate plus glorieusement la puissance du vigoureux
naturaliste qui donna à l’Ecole hollandaise son impulsion la plus
saine et la plus durable, en la rappelant énergiquement à son vrai
génie, l’observation naïve de la réalité, l’emploi des couleurs franches,
l’amour des tranquilles harmonies.
GEORGES LAFENESTUE.
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