PROPORTIONS DE L’IIOMME ET DU CHEVAL.
389
le fémur, depuis la base inférieure T jusqu’au point extrême de sa
tête, à son entrée dans le bassin F; de là, et avec la même ouverture
de compas, nous atteignons la fourchette sternale C, base du cou.
Enfin, l’expérience prouve que, très souvent, en ajoutant 30 cen-
timètres, on retrouve exactement la taille du sujet; c’est donc sur la
longueur du fémur, se répétant trois fois de suite, que repose la com-
paraison.
On peut objecter que si (pour le fémur) le dessous des condyles
s’appuyant sur le plateau du tibia a son interligne de séparation
appréciable, il n’en est pas de même du point d’entrée dans le bassin ;
mais, on arrivera à une appréciation suffisante, en remarquant que
le haut de la concavité qui reçoit la tète du fémur, est à la moitié
des 22 centimètres de hauteur approximative du bassin, dont on
constate facilement la limite supérieure avec la main.
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le fémur, depuis la base inférieure T jusqu’au point extrême de sa
tête, à son entrée dans le bassin F; de là, et avec la même ouverture
de compas, nous atteignons la fourchette sternale C, base du cou.
Enfin, l’expérience prouve que, très souvent, en ajoutant 30 cen-
timètres, on retrouve exactement la taille du sujet; c’est donc sur la
longueur du fémur, se répétant trois fois de suite, que repose la com-
paraison.
On peut objecter que si (pour le fémur) le dessous des condyles
s’appuyant sur le plateau du tibia a son interligne de séparation
appréciable, il n’en est pas de même du point d’entrée dans le bassin ;
mais, on arrivera à une appréciation suffisante, en remarquant que
le haut de la concavité qui reçoit la tète du fémur, est à la moitié
des 22 centimètres de hauteur approximative du bassin, dont on
constate facilement la limite supérieure avec la main.