LE MAUSOLÉE DE CLAUDE DE LORRAINE 207
la Gazette. La copie du procès-verbal de 1791, envoyée à M. Bonnaffé,
mentionne « deux bas-reliefs sur les trois faces », mais ce texte est
fautif et présente, du reste, un non-sens. L’original porte : « Un mas-
sif de deux pieds de haut, revêtu de bas-reliefs sur ses trois faces. »
1. A JUSTICE DE CLAUDE DE LORRAINE
Bas-relief en marbre provenant de son mausolée (Musée de Chaumont).
Un troisième bas-relief reste donc à trouver, s’il n’a pas été détruit.
Les deux gisants existaient encore en 1836, mais très mutilés,
et se trouvaient alors au collège de Chaumont. Ils sont mentionnés,
à cette date, dans un mémoire manuscrit de M. Jolibois, archiviste
du Tarn, originaire de Chaumont '. Le musée de la même ville, qui
a recueilli les sculptures conservées autrefois au collège, ne possède
1. Bibliothèque de Chaumont, recueil Jolibois.
la Gazette. La copie du procès-verbal de 1791, envoyée à M. Bonnaffé,
mentionne « deux bas-reliefs sur les trois faces », mais ce texte est
fautif et présente, du reste, un non-sens. L’original porte : « Un mas-
sif de deux pieds de haut, revêtu de bas-reliefs sur ses trois faces. »
1. A JUSTICE DE CLAUDE DE LORRAINE
Bas-relief en marbre provenant de son mausolée (Musée de Chaumont).
Un troisième bas-relief reste donc à trouver, s’il n’a pas été détruit.
Les deux gisants existaient encore en 1836, mais très mutilés,
et se trouvaient alors au collège de Chaumont. Ils sont mentionnés,
à cette date, dans un mémoire manuscrit de M. Jolibois, archiviste
du Tarn, originaire de Chaumont '. Le musée de la même ville, qui
a recueilli les sculptures conservées autrefois au collège, ne possède
1. Bibliothèque de Chaumont, recueil Jolibois.