FÉLIX TRUTAT
475
Je pourrais citer encore les jugements tout aussi louangeurs
d’autres salonniers de 1846, A. de La Fizelière1, Alfred de Men-
ciaux 2, Ch. Brunier 3, les critiques anonymes de F Illustration4 et
du Diogène au Salon 5, etc. ; mais il est superflu de pousser plus
loin la démonstration que je voulais faire du légitime succès obtenu
par Trutat à l’exposition de 1846.
A tous ces témoignages flatteurs, je tiens cependant à en
PORTRAIT DE FÉLIX TRUTAT AVEC SA MÈRE, PAR LUI-MÊME
(Appartenant à M. Guillot, de Dijon.)
adjoindre un particulièrement précieux. Le regretté PaulMantz, qui,
lui aussi, en était alors à ses premières armes, professa à l’égard du
jeune peintre la même admiration que Théophile Gautier. 11 m’ex-
prima à plusieurs reprises, quand, dans nos entretiens, je prononçais
le nom de Trutat, le regret de ne pas avoir pu dire jadis tout le bien
1. Le Commerce, 8 avril 1846.
2. Le Siècle, 3 juin 1846.
3. La Démocratie pacifique, 21 mai 1846.
4. Tome VII (1846), p. 222.
5. Brochure in-8°, p. 90.
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Je pourrais citer encore les jugements tout aussi louangeurs
d’autres salonniers de 1846, A. de La Fizelière1, Alfred de Men-
ciaux 2, Ch. Brunier 3, les critiques anonymes de F Illustration4 et
du Diogène au Salon 5, etc. ; mais il est superflu de pousser plus
loin la démonstration que je voulais faire du légitime succès obtenu
par Trutat à l’exposition de 1846.
A tous ces témoignages flatteurs, je tiens cependant à en
PORTRAIT DE FÉLIX TRUTAT AVEC SA MÈRE, PAR LUI-MÊME
(Appartenant à M. Guillot, de Dijon.)
adjoindre un particulièrement précieux. Le regretté PaulMantz, qui,
lui aussi, en était alors à ses premières armes, professa à l’égard du
jeune peintre la même admiration que Théophile Gautier. 11 m’ex-
prima à plusieurs reprises, quand, dans nos entretiens, je prononçais
le nom de Trutat, le regret de ne pas avoir pu dire jadis tout le bien
1. Le Commerce, 8 avril 1846.
2. Le Siècle, 3 juin 1846.
3. La Démocratie pacifique, 21 mai 1846.
4. Tome VII (1846), p. 222.
5. Brochure in-8°, p. 90.