I
15 CENTIMES
LE GRELOT
maçon, membre de la libre pensée, qu'il
renonce à ses erreurs ».
L'Univers n'oublie qu'une chose: c'est de
nommer ce converti. M'est avis qu'elle l'oublie
pour cause. » >
X
On croyait que le revolver nous venait
d'Amérique.
Erreur : en 1767, Bouillet père et fils, armu-
riers à Saint-Etienne, avaient présenté à V Aca-
démie des sciences un fusil-revolver à 24 coups.
L'invention tomba, naturellement, bientôt
dans le plus profond oubli.
Si elle avait été adoptée alors, les guerres de
la République et de l'Empire eussent été sans
doute autrement expéditivcs.
Comme dirait Calino : 1815 serait arrivé dès
18U7, et nous fêterions dès maintenant .le cen-
tenaire de 89»
Le Soleil plaint vivement ce pauvre duc
d'Auinale, accablé par les occupations de sa
vie militaire.
— Donnez votre démission, cher gênerai,
donnez votre démission !
X
La Flore, bàtiment-école. se passera désor-
mais d'aumônier.
Au moins ainsi, on sera sûr de ne pas tom-
ber sur un faune du genre de l'abbé Bau-
jard.
X
Grande querelle dans le clan badingredin.
Il s'agit de savoir si, oui ou non, les enfants
de l'Ion-Pion ont été baptisés.
Quant au père, lui, il a reçu le baptême du
l'eu à l'Aima. Il lui en est resté quelque chose...
dans sa culotte.
X
Si le malheur voulait que le président Gar-
field succombât à ses blessures, nous pour-
rions voir revenir aux affaires le général Graut
qui, comme intelligence et civilité, peut di-
gnementrivaliser avec notre Bayard des temps
modernes.
Après sa seconde présidence, il voyagea au
Brésil et rendit visite à l'empereur don Pedro,
qui le retint à diner.
Tout le temps du repas, Grant s'abstint soi-
gneusement d'adresser directement la parole
a l'empereur pour ne pas avoir à lui donner
du Sire ou de la Majesté.
Ouand on eut fini le dessert, le général tira
desa poche une énorme pipe et se mit en de-
voir de la bourrer, avec tout le soin que com-
porte ce genre d'opérations.
— Pardon, général, lui fit observer à voix
basse un huissier, on ne fume jamais chez sa
Majesté. ,
— lié l'Empereur! cria Grant a la canto-
nade, qu'est-ce qu'on me f... là qu'on ne fume
pas ici! C'est une blague, hein? Chez nous, ou
fume partout 1
; ; mÊÊÊ^^ i ' >-
llàtons-nous de placer encore une anecdote
sur feu Auriol, avant qu'on ne l'ait absolument
oublié. . . „ _f
Il dinait chez de boms bourgeois au Marais,
près desquels un de ses amis l'avait présenté
comme artiste, sans préciser son genre de ta-
lent.
A la fin du repas, le prenant sans doute
pour un pianiste, on le pria d'exécuter quel-
que chose de son cru.
— Volontiers, dit Auriol.
Et se levant, il sauta au milieu de la table
dans la position du génie de la Bastille, après
avoir exécuté un magistral saut de carpe.
Tableau! •
Bu ri dan.
(Bourbe §* ptasongH
Les affaires de Tunisie et du sud de l'Algé-
rie continuent à être aussi bien menées et les
dépêches qui en rendent compte rédigées avec
la même ineptie. Exemple :
En passant à Chellala, le tombeau du lieu-
tenant des chasseurs d'Afrique, M. Laneyrie,
tué à l'affaire de Chellala, a été reconnu, mais
le corps avait disparu. Un indigène, qui allait
être fusillé pour l'avoir enlevé, s'est sauvé au
moment où il était amené devant le peloton
d'exécution. Les cavaliers lancés à sa pour-
suite n'ont pu le rejoindre.
M'est avis que, quand l'on est assez mala-
droit pour laisser s'échapper un condamné
dans ces conditions, on devrait ensuite avoir
l'intelligence de ne pas prier l'agence Havas
d'aller raconter sa sottise a l'Europe entière.
X
Autre gaffe, non moins aimable, que presque
tous les grands palmipèdes quotidiens ont
enregistrée à la queue leu-leu sans .sourciller :
Les journaux de New-York nous appren-
nent que Guiteau, l'assassin du président Gar-
field, a sollicité sa mise en liberté provisoire,
offrant de verser quinze mille dollars a titre
de caution.
Il parait que cette offre, le prisonnier
n'avantpas de ressources personnelles, a fait
renaître dans l'esprit des magistrats instruc-
teurs, le soupçon que Guiteau pourrait bien
avoir des complices, soupçon que l'on avait
abandonné en raison de la stérilité des inves-
tigations précédemment faites à cet égard.
D'autre part, le texte de la requête présentée
par le meurtrie/ à l'appui de sa demande de
mise en liberté sous caution lémoigneoaitd'une
connaissance très exacte des formalités de la
procédure judiciaire, et ne permettrait guère
de supposer que l'auteur d'un tel document
puisse être frappé de démence. Cette pétition
seule, dit un journal de New-York, est de
nature à faire justice de la légende de la pré-
tendue folie de Guiteau.
Comment, voilà un individu innocent me-
nacé d'être pendu, qui demande à aller goûter
les douceurs de la villégiature, en promettant,
si on lui accorde cette légère faveur, de dépo-
ser au greffe une somme dont il n'a pas le pre-
mier maravédis.
Et, gravement, vous vous basez là-dessus
pour en déduire quecet homme n'estpasfou!
franchement, c'est à se demander si vous ne
l'êtes point vous-mêmes!
X
Le Dziennich-Poslii, de Lemberg, annonce
que :
Deux officiers de l'état-major russe, le colo-
nel Protopopow et le lieutenant-colonel Pa-
lica ont été arrêtés à Przemysck, comme ils
examinaient, habillés en civils, les fortifica-
tions de cette ville. On a trouvé sur eux une
grande quantité de cartes de la Gallicie. On dit
qu'ils ont également étudié les fortifications
et les chemins de fer autour de Tarnow et de
Cracovie.
Si le fait est vrai, je me fais un plaisir de
déclarer que je ne compatis pas du tout au
malheur des deux officiers russes. Aller se
faire pincer à dresser des plans, alors qu'il est
si facile d'acheter ceux dressés par l'état-ma-
jor autrichien, c'est réellement être trop bêtes
pour mériter ensuite la moindre compassion.
X
Le prince Krapotkine, rédacteur du Révolté,
ancien Avant-garde, vient d'être expulsé de
Suisse, à la suite des observations de l'ambas-
sadeur russe.
Une seconde fois, Guillaume Tell a salué.
Comme l'on voit, bien qu'elle se vante fort
du contraire, la libre Ilelvétie est infiniment
moins hospitalière que les montagnards écos-
sais, et fait payer autrement cher ladite fugi-
tive hospitalité.
X
La France populaire nous apprend que :
Les Siamois sont dans la jubilation comme
autrefois les Egyptiens quand ils avaient
trouvé le bœuf Apis, les Siamois poussent des
cris de joie.
Un éléphant blanc, sans tache, vient de leur
naître. lia été conduit en grande pompe dans
le palais de Bangkok, et le roi et ses digni-
taires se sont agenouillés devant lui et l'ont
proclamé dieu.
C'est indéniablement très bête, mais pas
sensiblement plus, toutefois, que les pèleri-
nages qui depuis, peu se dirigent vers
Lourdes.
X
La campagne anti-sémitique se poursuit, fu-
rieuse, en Russie, en Allemagne, et gagne
jusqu'à la paisible Hollande.
Dans le premier de ces pays, on parle même
d'expulser tous les Israélites sans profession.
Or, étant donné que le seul grief sérieux re-
proché aux juifs ctl leur habileté commer-
ciale et leur heureuse situation de fortune
presque générale, la mesure ci-dessus me pa-
raîtrait tout-à- ait idiote. Ce sont, au contraire,
les commerçants influents, les richissimes
banquiers usuriers, qu'il serait anti-libéral,
mais peut-être utile d'expulser, tandis qu'on
devrait laisser en repos les circoncis pauvres,
gagnant péniblement leur malheureuse exis-
tence.
Mais les gouvernements ont un merveilleux
instinct pour tout faire à J'envers.
X
Information diplomatique :
M. Callimarki Catargi, ministre de Rouma-
nie, vient d'arriver à Paris. Il a remis à M. le
ministre des affaires étrangers copie des let-
tres qui l'accréditent en qualité de ministre
de Roumanie auprès du gouvernement de la
République française. U présentera les lettres
originales du roi Charles de Roumanie à M. le
président Grévy, dès que celui-ci sera de re-
tour à Paris;
Oui espère-t-on tromper par ce terme « let-
tres originales ». Chacun sait parfaitement
que, bien au contraire, ces documents officiels
sont idéalement banals et dépourvus d'origi-
nalité.
Un journal slave, qui serait inexcusable s'il
n'était pas payé pour cela, exalte le rôle, glo-
rieux de la Russie colonisatrice.
La Hussie colonise, en effet, et vite. Trop
vite, même. Pour peuqu'elle continue quelque
temps avec cette vigueur, elle finira par être
obligée de déporter les perturbateurs, de la
Sibérie en Russie d'Europe, devenue déserte,
tandis que les plaines glacées du cap Severo
Vastocknoï regorgeront d'une population plus
dense que celle de la Belgique.
Henry Vaudémont.
CHRONIQUE THÉÂTRALE
Si, désireux de passer votre soirée au théâ-
tre, vous avez eu le malheur de rencontrer
parmi les rossinantes de la compagnie des
Petites-Voitures un bucéphale ayant encore
quelque quelque vigueur dans les jarrets et
que vous soyez arrivé dans votre stalle avant
le lever du rideau, vout n'avez pu échapper à
cet horrible mélange de sons bizarres et dis-
cordants qu'on appelle l'accord des instru-
ments.
Le violon fait : la, la ; la petite flûte : U, la,
la; la basse: ron, ton, ron; le piston : couic,
coûte, et même couac, hélas !
C'est épouvantable! et vous vous prenez à
regretter que tous les chevaux de fiacre ne
soient pas à roulettes et empaillés.
Eh bien ! une sensation tout aussi désagréa-
ble a été réservée par MM. les directeurs, le 1er
septembre, aux amateurs de spectacles.
De tous les côtés on s'est hâté, après deux
mois de clôture, d'accourir à leurs contrôles,
et l'on a trouvé quoi? un accord parfait, mais
néanmoins discordant, de reprises.
On était venu trop tôt.
Les théâtres sont rouverts, mais la saison
théâtrale n'est pas même entre-baillée. Des
reprises, des. reprises et encore des reprises!
Au Gymnase : La Joie de la maison, reprise.
Au Vaudeville : Un Voyage d'agrément, re-
prise.
A l'Ambigu : Les Mouchards, reprise.
Aux Variétés : Niniche, reprise.
A l'Opéra-Coinique : Les Contes d'Hoffmann,
reprise.
Aux Bouffes : La Mascotte, reprise.
A la Renaisssnce : Le Canard à trois becs,
reprise.
A Cluny : Les Braconniers, reprise.
Aux Foïies-Drama tiques : La Fille Angot, inu-
tile d'ajouter : reprise.
Au Palais-Royal : Divorçons, reprise.
Etc., etc.
Etc., etc., etc.
Les chroniqueurs de théâtre en sont réduits
à décrire les robes des actrices et à parler mê-
me des doublures. C'est triste.
Quant aux colonnes Morris, regardez-les ;
on dirait d'une boite de conserves! C'est na-
vrant.
En un mot on n'a encore frappé que deux
coups : pan ! pan !
Nous attendons le troisième.
Que MM. les directeurs se décident donc à
le frapper. Il est déjà trop tard et le public
s'impatiente.
j. de la verdrie.
GRELOTS
En l'absence de ses maîtres, Catherine
écrit à son adoré, afin de lui donner rendez-
vous pour le soir.
Au reçu de sa lettre, le tourlourou file près
de son superior.
— Sergent, dit-il, ne pourriez-vous me
donner la permission de dix heures ?
— Et en l'honneur de quel saint sous' plait?
— Des ceux de Catherine, sergent !
—o—
Dans une histoire de France à laquelle je ne
veux pas faire de réclame, j'ai lu :
....Mais il ne jouit pas longtemps de son
triomphe, car trois mois plus tard, il voyait
tomber sa tète sur l'échafaud.
Il voyait...! ! !
—o—
Entre gentlemen-riders :
— Mais, mon cher, marie-toi donc!
— Non; ma femme serait malheureuse.
— Malheureuse?
— Oui... je suis trop coureur.
Une dame, qui avait été fort jolie, mais qui
venait d'entrer dans sa soixantième année,
sans que personne eût jamais pu savoir la date
de sa naissance, tombe malade dernièrement.
La maladie fait des progrès tellement rapi-
des, que bientôt on est obligé de l'engager à
faire connaître ses dernières volontés.
— Je suis donc bien malade, dit-elle.
Allons puisqu'il faut s'en aller!.,. Mais sur-
tout, ajoute-t-elle, ne mettez pas mon âge sur
les lettres de faire-part.
—o—
Un prévenu vient d'être condamné par le
tribunal correctionnel qui s'est montré fort
indulgent.
— Voilà un bon tribunal, dit-il, j'y revien-
drai.
—o—
Les dimanches principalement, on voit une
voit une masse de gens qui prennent le ba-
teau de Bercy à Auteuil et qui ne se gênent
pas pour avoir du Bully dans leur mouchoir.
Allez donc dire, après ça, qu'on ne prend pas
les mouches avec du vinaigre !
Triboulet.
voyage circulaire en" suisse
(obeeland bernois et lac de genève)
Les Compagnies des chemins de fer de l'Est
et de Paris-Lyon-Méditei ianée délivrent aux
touristes qui désirent visiter laSuisse centrale,
l'Oberland-Bernois et le lac de Genève, des
billets à prix réduits, valables pendant un ou
deux mois, avec arrêt facultatif sur les lignes
de l'Est et de Lyon dans toutes les stations du
parcours, et à Mulhouse, Bàle, Olten, Lucerne,
Alpnach, Brienz (Giessbach), Interlaken,
Thoune, Berne, Fïibourg, Lausanne et Ge~
nève.
Cet intéressant voyage peut s'effectuer in-
différemment en partant par la ligne de l'Est
(Belfort, Délie, Bàle ou Belfort, Mulhouse,
Bàle) et en revenant à Paris par celle de Lyon,
ou bien dans le sens inverse.
Les billets sont délivrés aux gares des che-
mins de fer de l'Est et de Lyon; au bureau
central des chemins de fer de l'Est, iîO, rue
Basse-du-Rempart ; aux bureaux de la Compa-
gnie de Lyon, 88, rue Sl-Lazare ; 11, rue des
Petites-Ecuries : i, rue du Bouloi; 6, rue Ram-
buteau ; &'ô, rue de Rennes; 2(52, rue St-Mar-
tin et à l'agence des chemins de fer anglais,
4, boulevard des Italiens.
Les prix de ces billets sont fixés comme
suit : pour les billets d'un mois, lre classe,
152 fr. 35; 2° cl. 118 fr. Tu ; pour les billets de
deux mois, 1," cl. lGii fr. 80; 2e cl. 128 fr. 90.
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XIX" siècle, 16 vol. in-4°. 600 fr. payables 20 fr.
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seur, 63, rua de Fleurus, Paris.
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sujets coloriés. Prix, broché : 480 fr. payables
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plans gravés sur cuivre, avec unmagnifique Atlas
relié, contenant 72planches in-folio, représentant
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15 CENTIMES
LE GRELOT
maçon, membre de la libre pensée, qu'il
renonce à ses erreurs ».
L'Univers n'oublie qu'une chose: c'est de
nommer ce converti. M'est avis qu'elle l'oublie
pour cause. » >
X
On croyait que le revolver nous venait
d'Amérique.
Erreur : en 1767, Bouillet père et fils, armu-
riers à Saint-Etienne, avaient présenté à V Aca-
démie des sciences un fusil-revolver à 24 coups.
L'invention tomba, naturellement, bientôt
dans le plus profond oubli.
Si elle avait été adoptée alors, les guerres de
la République et de l'Empire eussent été sans
doute autrement expéditivcs.
Comme dirait Calino : 1815 serait arrivé dès
18U7, et nous fêterions dès maintenant .le cen-
tenaire de 89»
Le Soleil plaint vivement ce pauvre duc
d'Auinale, accablé par les occupations de sa
vie militaire.
— Donnez votre démission, cher gênerai,
donnez votre démission !
X
La Flore, bàtiment-école. se passera désor-
mais d'aumônier.
Au moins ainsi, on sera sûr de ne pas tom-
ber sur un faune du genre de l'abbé Bau-
jard.
X
Grande querelle dans le clan badingredin.
Il s'agit de savoir si, oui ou non, les enfants
de l'Ion-Pion ont été baptisés.
Quant au père, lui, il a reçu le baptême du
l'eu à l'Aima. Il lui en est resté quelque chose...
dans sa culotte.
X
Si le malheur voulait que le président Gar-
field succombât à ses blessures, nous pour-
rions voir revenir aux affaires le général Graut
qui, comme intelligence et civilité, peut di-
gnementrivaliser avec notre Bayard des temps
modernes.
Après sa seconde présidence, il voyagea au
Brésil et rendit visite à l'empereur don Pedro,
qui le retint à diner.
Tout le temps du repas, Grant s'abstint soi-
gneusement d'adresser directement la parole
a l'empereur pour ne pas avoir à lui donner
du Sire ou de la Majesté.
Ouand on eut fini le dessert, le général tira
desa poche une énorme pipe et se mit en de-
voir de la bourrer, avec tout le soin que com-
porte ce genre d'opérations.
— Pardon, général, lui fit observer à voix
basse un huissier, on ne fume jamais chez sa
Majesté. ,
— lié l'Empereur! cria Grant a la canto-
nade, qu'est-ce qu'on me f... là qu'on ne fume
pas ici! C'est une blague, hein? Chez nous, ou
fume partout 1
; ; mÊÊÊ^^ i ' >-
llàtons-nous de placer encore une anecdote
sur feu Auriol, avant qu'on ne l'ait absolument
oublié. . . „ _f
Il dinait chez de boms bourgeois au Marais,
près desquels un de ses amis l'avait présenté
comme artiste, sans préciser son genre de ta-
lent.
A la fin du repas, le prenant sans doute
pour un pianiste, on le pria d'exécuter quel-
que chose de son cru.
— Volontiers, dit Auriol.
Et se levant, il sauta au milieu de la table
dans la position du génie de la Bastille, après
avoir exécuté un magistral saut de carpe.
Tableau! •
Bu ri dan.
(Bourbe §* ptasongH
Les affaires de Tunisie et du sud de l'Algé-
rie continuent à être aussi bien menées et les
dépêches qui en rendent compte rédigées avec
la même ineptie. Exemple :
En passant à Chellala, le tombeau du lieu-
tenant des chasseurs d'Afrique, M. Laneyrie,
tué à l'affaire de Chellala, a été reconnu, mais
le corps avait disparu. Un indigène, qui allait
être fusillé pour l'avoir enlevé, s'est sauvé au
moment où il était amené devant le peloton
d'exécution. Les cavaliers lancés à sa pour-
suite n'ont pu le rejoindre.
M'est avis que, quand l'on est assez mala-
droit pour laisser s'échapper un condamné
dans ces conditions, on devrait ensuite avoir
l'intelligence de ne pas prier l'agence Havas
d'aller raconter sa sottise a l'Europe entière.
X
Autre gaffe, non moins aimable, que presque
tous les grands palmipèdes quotidiens ont
enregistrée à la queue leu-leu sans .sourciller :
Les journaux de New-York nous appren-
nent que Guiteau, l'assassin du président Gar-
field, a sollicité sa mise en liberté provisoire,
offrant de verser quinze mille dollars a titre
de caution.
Il parait que cette offre, le prisonnier
n'avantpas de ressources personnelles, a fait
renaître dans l'esprit des magistrats instruc-
teurs, le soupçon que Guiteau pourrait bien
avoir des complices, soupçon que l'on avait
abandonné en raison de la stérilité des inves-
tigations précédemment faites à cet égard.
D'autre part, le texte de la requête présentée
par le meurtrie/ à l'appui de sa demande de
mise en liberté sous caution lémoigneoaitd'une
connaissance très exacte des formalités de la
procédure judiciaire, et ne permettrait guère
de supposer que l'auteur d'un tel document
puisse être frappé de démence. Cette pétition
seule, dit un journal de New-York, est de
nature à faire justice de la légende de la pré-
tendue folie de Guiteau.
Comment, voilà un individu innocent me-
nacé d'être pendu, qui demande à aller goûter
les douceurs de la villégiature, en promettant,
si on lui accorde cette légère faveur, de dépo-
ser au greffe une somme dont il n'a pas le pre-
mier maravédis.
Et, gravement, vous vous basez là-dessus
pour en déduire quecet homme n'estpasfou!
franchement, c'est à se demander si vous ne
l'êtes point vous-mêmes!
X
Le Dziennich-Poslii, de Lemberg, annonce
que :
Deux officiers de l'état-major russe, le colo-
nel Protopopow et le lieutenant-colonel Pa-
lica ont été arrêtés à Przemysck, comme ils
examinaient, habillés en civils, les fortifica-
tions de cette ville. On a trouvé sur eux une
grande quantité de cartes de la Gallicie. On dit
qu'ils ont également étudié les fortifications
et les chemins de fer autour de Tarnow et de
Cracovie.
Si le fait est vrai, je me fais un plaisir de
déclarer que je ne compatis pas du tout au
malheur des deux officiers russes. Aller se
faire pincer à dresser des plans, alors qu'il est
si facile d'acheter ceux dressés par l'état-ma-
jor autrichien, c'est réellement être trop bêtes
pour mériter ensuite la moindre compassion.
X
Le prince Krapotkine, rédacteur du Révolté,
ancien Avant-garde, vient d'être expulsé de
Suisse, à la suite des observations de l'ambas-
sadeur russe.
Une seconde fois, Guillaume Tell a salué.
Comme l'on voit, bien qu'elle se vante fort
du contraire, la libre Ilelvétie est infiniment
moins hospitalière que les montagnards écos-
sais, et fait payer autrement cher ladite fugi-
tive hospitalité.
X
La France populaire nous apprend que :
Les Siamois sont dans la jubilation comme
autrefois les Egyptiens quand ils avaient
trouvé le bœuf Apis, les Siamois poussent des
cris de joie.
Un éléphant blanc, sans tache, vient de leur
naître. lia été conduit en grande pompe dans
le palais de Bangkok, et le roi et ses digni-
taires se sont agenouillés devant lui et l'ont
proclamé dieu.
C'est indéniablement très bête, mais pas
sensiblement plus, toutefois, que les pèleri-
nages qui depuis, peu se dirigent vers
Lourdes.
X
La campagne anti-sémitique se poursuit, fu-
rieuse, en Russie, en Allemagne, et gagne
jusqu'à la paisible Hollande.
Dans le premier de ces pays, on parle même
d'expulser tous les Israélites sans profession.
Or, étant donné que le seul grief sérieux re-
proché aux juifs ctl leur habileté commer-
ciale et leur heureuse situation de fortune
presque générale, la mesure ci-dessus me pa-
raîtrait tout-à- ait idiote. Ce sont, au contraire,
les commerçants influents, les richissimes
banquiers usuriers, qu'il serait anti-libéral,
mais peut-être utile d'expulser, tandis qu'on
devrait laisser en repos les circoncis pauvres,
gagnant péniblement leur malheureuse exis-
tence.
Mais les gouvernements ont un merveilleux
instinct pour tout faire à J'envers.
X
Information diplomatique :
M. Callimarki Catargi, ministre de Rouma-
nie, vient d'arriver à Paris. Il a remis à M. le
ministre des affaires étrangers copie des let-
tres qui l'accréditent en qualité de ministre
de Roumanie auprès du gouvernement de la
République française. U présentera les lettres
originales du roi Charles de Roumanie à M. le
président Grévy, dès que celui-ci sera de re-
tour à Paris;
Oui espère-t-on tromper par ce terme « let-
tres originales ». Chacun sait parfaitement
que, bien au contraire, ces documents officiels
sont idéalement banals et dépourvus d'origi-
nalité.
Un journal slave, qui serait inexcusable s'il
n'était pas payé pour cela, exalte le rôle, glo-
rieux de la Russie colonisatrice.
La Hussie colonise, en effet, et vite. Trop
vite, même. Pour peuqu'elle continue quelque
temps avec cette vigueur, elle finira par être
obligée de déporter les perturbateurs, de la
Sibérie en Russie d'Europe, devenue déserte,
tandis que les plaines glacées du cap Severo
Vastocknoï regorgeront d'une population plus
dense que celle de la Belgique.
Henry Vaudémont.
CHRONIQUE THÉÂTRALE
Si, désireux de passer votre soirée au théâ-
tre, vous avez eu le malheur de rencontrer
parmi les rossinantes de la compagnie des
Petites-Voitures un bucéphale ayant encore
quelque quelque vigueur dans les jarrets et
que vous soyez arrivé dans votre stalle avant
le lever du rideau, vout n'avez pu échapper à
cet horrible mélange de sons bizarres et dis-
cordants qu'on appelle l'accord des instru-
ments.
Le violon fait : la, la ; la petite flûte : U, la,
la; la basse: ron, ton, ron; le piston : couic,
coûte, et même couac, hélas !
C'est épouvantable! et vous vous prenez à
regretter que tous les chevaux de fiacre ne
soient pas à roulettes et empaillés.
Eh bien ! une sensation tout aussi désagréa-
ble a été réservée par MM. les directeurs, le 1er
septembre, aux amateurs de spectacles.
De tous les côtés on s'est hâté, après deux
mois de clôture, d'accourir à leurs contrôles,
et l'on a trouvé quoi? un accord parfait, mais
néanmoins discordant, de reprises.
On était venu trop tôt.
Les théâtres sont rouverts, mais la saison
théâtrale n'est pas même entre-baillée. Des
reprises, des. reprises et encore des reprises!
Au Gymnase : La Joie de la maison, reprise.
Au Vaudeville : Un Voyage d'agrément, re-
prise.
A l'Ambigu : Les Mouchards, reprise.
Aux Variétés : Niniche, reprise.
A l'Opéra-Coinique : Les Contes d'Hoffmann,
reprise.
Aux Bouffes : La Mascotte, reprise.
A la Renaisssnce : Le Canard à trois becs,
reprise.
A Cluny : Les Braconniers, reprise.
Aux Foïies-Drama tiques : La Fille Angot, inu-
tile d'ajouter : reprise.
Au Palais-Royal : Divorçons, reprise.
Etc., etc.
Etc., etc., etc.
Les chroniqueurs de théâtre en sont réduits
à décrire les robes des actrices et à parler mê-
me des doublures. C'est triste.
Quant aux colonnes Morris, regardez-les ;
on dirait d'une boite de conserves! C'est na-
vrant.
En un mot on n'a encore frappé que deux
coups : pan ! pan !
Nous attendons le troisième.
Que MM. les directeurs se décident donc à
le frapper. Il est déjà trop tard et le public
s'impatiente.
j. de la verdrie.
GRELOTS
En l'absence de ses maîtres, Catherine
écrit à son adoré, afin de lui donner rendez-
vous pour le soir.
Au reçu de sa lettre, le tourlourou file près
de son superior.
— Sergent, dit-il, ne pourriez-vous me
donner la permission de dix heures ?
— Et en l'honneur de quel saint sous' plait?
— Des ceux de Catherine, sergent !
—o—
Dans une histoire de France à laquelle je ne
veux pas faire de réclame, j'ai lu :
....Mais il ne jouit pas longtemps de son
triomphe, car trois mois plus tard, il voyait
tomber sa tète sur l'échafaud.
Il voyait...! ! !
—o—
Entre gentlemen-riders :
— Mais, mon cher, marie-toi donc!
— Non; ma femme serait malheureuse.
— Malheureuse?
— Oui... je suis trop coureur.
Une dame, qui avait été fort jolie, mais qui
venait d'entrer dans sa soixantième année,
sans que personne eût jamais pu savoir la date
de sa naissance, tombe malade dernièrement.
La maladie fait des progrès tellement rapi-
des, que bientôt on est obligé de l'engager à
faire connaître ses dernières volontés.
— Je suis donc bien malade, dit-elle.
Allons puisqu'il faut s'en aller!.,. Mais sur-
tout, ajoute-t-elle, ne mettez pas mon âge sur
les lettres de faire-part.
—o—
Un prévenu vient d'être condamné par le
tribunal correctionnel qui s'est montré fort
indulgent.
— Voilà un bon tribunal, dit-il, j'y revien-
drai.
—o—
Les dimanches principalement, on voit une
voit une masse de gens qui prennent le ba-
teau de Bercy à Auteuil et qui ne se gênent
pas pour avoir du Bully dans leur mouchoir.
Allez donc dire, après ça, qu'on ne prend pas
les mouches avec du vinaigre !
Triboulet.
voyage circulaire en" suisse
(obeeland bernois et lac de genève)
Les Compagnies des chemins de fer de l'Est
et de Paris-Lyon-Méditei ianée délivrent aux
touristes qui désirent visiter laSuisse centrale,
l'Oberland-Bernois et le lac de Genève, des
billets à prix réduits, valables pendant un ou
deux mois, avec arrêt facultatif sur les lignes
de l'Est et de Lyon dans toutes les stations du
parcours, et à Mulhouse, Bàle, Olten, Lucerne,
Alpnach, Brienz (Giessbach), Interlaken,
Thoune, Berne, Fïibourg, Lausanne et Ge~
nève.
Cet intéressant voyage peut s'effectuer in-
différemment en partant par la ligne de l'Est
(Belfort, Délie, Bàle ou Belfort, Mulhouse,
Bàle) et en revenant à Paris par celle de Lyon,
ou bien dans le sens inverse.
Les billets sont délivrés aux gares des che-
mins de fer de l'Est et de Lyon; au bureau
central des chemins de fer de l'Est, iîO, rue
Basse-du-Rempart ; aux bureaux de la Compa-
gnie de Lyon, 88, rue Sl-Lazare ; 11, rue des
Petites-Ecuries : i, rue du Bouloi; 6, rue Ram-
buteau ; &'ô, rue de Rennes; 2(52, rue St-Mar-
tin et à l'agence des chemins de fer anglais,
4, boulevard des Italiens.
Les prix de ces billets sont fixés comme
suit : pour les billets d'un mois, lre classe,
152 fr. 35; 2° cl. 118 fr. Tu ; pour les billets de
deux mois, 1," cl. lGii fr. 80; 2e cl. 128 fr. 90.
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