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C sont deux mauvais vers, dont le second offre une énorme 7. ( F. S.
faute de quantité , à moins qu'on ne liseopow noj iâaû/Mtau , ou o&av
V-îy' ISrAv/xAtrct ; mais comme le tvv à /MtXigx. tombe naturellement sur
iSuvfJttt,™ ( v. n" 4)» P- 24-5> cette correction bienveillante n'est peut-
être guère admissible.
Qa/j/uam ovplyyev o&uv fuy' idvMfiam Bh5-[oj]
[ iStiv{.mou. J ««y i^uejitôxe Mev, ouÙ^iaiJbç xetj FlctQov tîkvùûv.
Ptolémée de Busiris ( car je lis BOYceiPeiTHC , au lieu de
BOTK. j étoit venu visiter les syringes avec sa femme Cypria et
son fils Ptolémée. Leurs deux filles, Ménuthias et Pathos, ne les
avoient pas accompagnés. Ptolémée leur donne une marque de
souvenir Ces deux noms sont à remarquer. Le premier est formé
de celui de la bourgade Menuthis, a deux milles de Canopea, et , " -StePh\By~-
. t v c / t h.v.- S. t.piph.
ou l'on adoroit Isis , surnommée « Meca^ct? ou» ce MtvvSi . Le nom in Ancor. $ 108,
de l'île Ménuthias, dans la mer Erythrée (Madagascar, selon les r-'°9.c.
uns, Magadasho , selon Gossellin c ) , n'avoit pas, je crois , d'autre
origine ; il lui aura été imposé sans doute par quelque navigateur
alexandrin.
II est clair que le nom de Paphos, que porte l'autre enfant, a une
relation avec celui de Cypria que portoit la mère ; elle avoii donné
à sa seconde fille le nom d'une ville de l'île de Cypre , d'où elle
tiroit son propre nom , et peut-être sa naissance.
••urut.LXxx \
c Rechnh. sur
la givgr. syst. 1,
lao.
«<wç lâaùuœm ai
Cette inscription en lettres cursives est peu distincte; on pourroit 9, [F. S.)
lire ùyifuûv <dtt£a.iç comme Ytyt[ù>v l OnCw du n° 29 ; je préfère
QiiCaïiJbç t'i(fjoç). Quant au mot de la troisième ligne qui commence
par un M, et finit par 6TNON, je ne vois pas bien ce que ce peut
C sont deux mauvais vers, dont le second offre une énorme 7. ( F. S.
faute de quantité , à moins qu'on ne liseopow noj iâaû/Mtau , ou o&av
V-îy' ISrAv/xAtrct ; mais comme le tvv à /MtXigx. tombe naturellement sur
iSuvfJttt,™ ( v. n" 4)» P- 24-5> cette correction bienveillante n'est peut-
être guère admissible.
Qa/j/uam ovplyyev o&uv fuy' idvMfiam Bh5-[oj]
[ iStiv{.mou. J ««y i^uejitôxe Mev, ouÙ^iaiJbç xetj FlctQov tîkvùûv.
Ptolémée de Busiris ( car je lis BOYceiPeiTHC , au lieu de
BOTK. j étoit venu visiter les syringes avec sa femme Cypria et
son fils Ptolémée. Leurs deux filles, Ménuthias et Pathos, ne les
avoient pas accompagnés. Ptolémée leur donne une marque de
souvenir Ces deux noms sont à remarquer. Le premier est formé
de celui de la bourgade Menuthis, a deux milles de Canopea, et , " -StePh\By~-
. t v c / t h.v.- S. t.piph.
ou l'on adoroit Isis , surnommée « Meca^ct? ou» ce MtvvSi . Le nom in Ancor. $ 108,
de l'île Ménuthias, dans la mer Erythrée (Madagascar, selon les r-'°9.c.
uns, Magadasho , selon Gossellin c ) , n'avoit pas, je crois , d'autre
origine ; il lui aura été imposé sans doute par quelque navigateur
alexandrin.
II est clair que le nom de Paphos, que porte l'autre enfant, a une
relation avec celui de Cypria que portoit la mère ; elle avoii donné
à sa seconde fille le nom d'une ville de l'île de Cypre , d'où elle
tiroit son propre nom , et peut-être sa naissance.
••urut.LXxx \
c Rechnh. sur
la givgr. syst. 1,
lao.
«<wç lâaùuœm ai
Cette inscription en lettres cursives est peu distincte; on pourroit 9, [F. S.)
lire ùyifuûv <dtt£a.iç comme Ytyt[ù>v l OnCw du n° 29 ; je préfère
QiiCaïiJbç t'i(fjoç). Quant au mot de la troisième ligne qui commence
par un M, et finit par 6TNON, je ne vois pas bien ce que ce peut