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Kkmarques et notes.
1° Chien debout Jj^ (j <=> ^ 11 Les dialectes berbères donnent
pour la gazelle plusieurs noms dont le plus approchant de Behuka est hanka à Ghat.
2° Chien debout ^JJ <==> Maintenant o .-. £ □, o •: □ ahaikour, abekkour,
suivant les dialectes, désigne le lévrier de Kabylie ou slougui.
3° Chien assis ^ ^ <=> ^| f l^^v ^T°ir se dit aujourd'hui aberchan ou
isettafen.
4° Chien assis il^Hi7 se s^Pai'e de tout, excepté de lui»
pour l'inséparable, telle est la périphrase par laquelle l'égyptien traduit un nom dérivé de
la racine berbère DKL «être joint». Ami se dit amdonki, amdakkal, ameddoukal dans les
dialectes kabyles.
^ AAAAAA *\
5° Chien debout ^ ^ v>. Ce mot est probablement à rapprocher de azouggar ou
ahaggar, désignant le rouge et parfois le jaune.
Un des morceaux de cette stèle disparu à la suite du bris du monument a été retrouvé
cette année; il n'en manque plus qu'un, celui qui porte les cartouches d'Antef, pour que la
stèle puisse être reconstituée telle que Mariette l'avait découverte.
M. Maspero a signalé l'analogie entre le titre donné à un chef des Masauas sur
un cercueil de momie de Boulaq (n° 4937) et le mot © ] mas qui signifie maître en touareg.
Je ne sais si on a signalé un autre exemple de ce titre qui se trouve sur une stèle du
Sérapéum (Louvre, salle historique, n° 279), datée de l'an 27 de Sheshanq III, sur laquelle
XIX. — Dans une collection particulière à Paris se trouve une statue d'Osiris en granit
noir, au dos de laquelle on lit '^CNk^*" j? m,- ^ P)-<s=-1
~~©*ir I. C'est le même texte, moins les fautes, qui se trouve sur un bas-relief
publié ]>ar Prisse d'Avesnes, où la déesse dit à Ramsès II jj^^^ * "o^cT'ÎJj
AAAAAA ^
AAAAAA
XX. — Boulaq. - Un fragment de cercueil de la XIIIe dynastie, provenant de Meir,
O Q Q AAAAAA
nécropole de Cusse, donne pour le nom d'Héracléopolis la variante I © au lieu de
^ £S ,Q AAAAAA O AAAAAA , I AAAAAA A AAAAAA Q * -O
% ® qu'on lisait plutôt Suten -/enen. fi serait une forme voisine de fi «=f=» S)
1 AAAAAA il AAAAAA AAAAAA >"» AAAAAA -/j
XXI. — Boulaq. — Une statue acéphale porte seulement une légende . 1 J^J^ |
^z^^^J J^. Aa nefert n'est pas cité dans le dictionnaire géographique de Brugsch, il paraît
(pie le monument vient de Kom el-Hisn dans la Basse Egypte, près de Tel el-Baroud.
XXII. — Boulaq. — Un naos en granit noir, dont le toit est voûté, est orné sur le
devant au fronton du disque ailé avec la légende <=^> |j A ^ et sur les montants de
deux les«,deS verttale. : à droite ^^W^^^^^^^llS
Kkmarques et notes.
1° Chien debout Jj^ (j <=> ^ 11 Les dialectes berbères donnent
pour la gazelle plusieurs noms dont le plus approchant de Behuka est hanka à Ghat.
2° Chien debout ^JJ <==> Maintenant o .-. £ □, o •: □ ahaikour, abekkour,
suivant les dialectes, désigne le lévrier de Kabylie ou slougui.
3° Chien assis ^ ^ <=> ^| f l^^v ^T°ir se dit aujourd'hui aberchan ou
isettafen.
4° Chien assis il^Hi7 se s^Pai'e de tout, excepté de lui»
pour l'inséparable, telle est la périphrase par laquelle l'égyptien traduit un nom dérivé de
la racine berbère DKL «être joint». Ami se dit amdonki, amdakkal, ameddoukal dans les
dialectes kabyles.
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5° Chien debout ^ ^ v>. Ce mot est probablement à rapprocher de azouggar ou
ahaggar, désignant le rouge et parfois le jaune.
Un des morceaux de cette stèle disparu à la suite du bris du monument a été retrouvé
cette année; il n'en manque plus qu'un, celui qui porte les cartouches d'Antef, pour que la
stèle puisse être reconstituée telle que Mariette l'avait découverte.
M. Maspero a signalé l'analogie entre le titre donné à un chef des Masauas sur
un cercueil de momie de Boulaq (n° 4937) et le mot © ] mas qui signifie maître en touareg.
Je ne sais si on a signalé un autre exemple de ce titre qui se trouve sur une stèle du
Sérapéum (Louvre, salle historique, n° 279), datée de l'an 27 de Sheshanq III, sur laquelle
XIX. — Dans une collection particulière à Paris se trouve une statue d'Osiris en granit
noir, au dos de laquelle on lit '^CNk^*" j? m,- ^ P)-<s=-1
~~©*ir I. C'est le même texte, moins les fautes, qui se trouve sur un bas-relief
publié ]>ar Prisse d'Avesnes, où la déesse dit à Ramsès II jj^^^ * "o^cT'ÎJj
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XX. — Boulaq. - Un fragment de cercueil de la XIIIe dynastie, provenant de Meir,
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nécropole de Cusse, donne pour le nom d'Héracléopolis la variante I © au lieu de
^ £S ,Q AAAAAA O AAAAAA , I AAAAAA A AAAAAA Q * -O
% ® qu'on lisait plutôt Suten -/enen. fi serait une forme voisine de fi «=f=» S)
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XXI. — Boulaq. — Une statue acéphale porte seulement une légende . 1 J^J^ |
^z^^^J J^. Aa nefert n'est pas cité dans le dictionnaire géographique de Brugsch, il paraît
(pie le monument vient de Kom el-Hisn dans la Basse Egypte, près de Tel el-Baroud.
XXII. — Boulaq. — Un naos en granit noir, dont le toit est voûté, est orné sur le
devant au fronton du disque ailé avec la légende <=^> |j A ^ et sur les montants de
deux les«,deS verttale. : à droite ^^W^^^^^^^llS