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g. lefebvre et a. moret
Pareille éventualité est prévue dans le texte anonyme de la IVe dynastie, auquel
nous nous sommes déjà référés (Donations, p. 86; cf. Urk., I, p. 13, 1. 14 sq.; p. 14,
l. 9 sq.). Dans ce cas, chacun des membres de la famille est libre de tenir ses engage-
ments, et le kherp n'a plus à exercer d'autorité sur ses frères dans un ordre de matières
qui ne touche pas au service d'offrandes de Nekcankh (1. 4). Tout ce qu'on peut exiger
des hemou-ka, c'est que le service des offrandes de Nekcankh ne souffre en rien du fait
que les hemou-ka consacrent aussi au service d'un autre une partie de leur temps et
de leur activité (Donations, p. 91, art. VII).
Tel est l'intérêt du nouveau texte découvert à Tehnèh, dans cette nécropole fa-
miliale, qui nous avait déjà fourni des documents d'une si haute importance. En
résumé, le nouvel acte de fondation permet de mieux comprendre la valeur de Ylmt-
per, et de définir plus exactement les prérogatives du fils aîné, xipioç de ses frères.
G. LEFEBVRE et A. MORET.
g. lefebvre et a. moret
Pareille éventualité est prévue dans le texte anonyme de la IVe dynastie, auquel
nous nous sommes déjà référés (Donations, p. 86; cf. Urk., I, p. 13, 1. 14 sq.; p. 14,
l. 9 sq.). Dans ce cas, chacun des membres de la famille est libre de tenir ses engage-
ments, et le kherp n'a plus à exercer d'autorité sur ses frères dans un ordre de matières
qui ne touche pas au service d'offrandes de Nekcankh (1. 4). Tout ce qu'on peut exiger
des hemou-ka, c'est que le service des offrandes de Nekcankh ne souffre en rien du fait
que les hemou-ka consacrent aussi au service d'un autre une partie de leur temps et
de leur activité (Donations, p. 91, art. VII).
Tel est l'intérêt du nouveau texte découvert à Tehnèh, dans cette nécropole fa-
miliale, qui nous avait déjà fourni des documents d'une si haute importance. En
résumé, le nouvel acte de fondation permet de mieux comprendre la valeur de Ylmt-
per, et de définir plus exactement les prérogatives du fils aîné, xipioç de ses frères.
G. LEFEBVRE et A. MORET.