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Shaw, Thomas
Voyages De Monsr. Shaw ... Dans Plusieurs Provinces De La Barbarie Et Du Levant: Contenant Des Observations Géographiques, Physiques, Philologiques Et Melées Sur Les Royaumes D'Alger Et De Tunis, Sur La Syrie, L'Egypte Et L'Arabie Petrées (Band 2) — La Haye, 1743

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https://doi.org/10.11588/diglit.6528#0244

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D E PREUVES. 7

m vafted>efert, où il n'y a ni bois, AAi%, epjjptoff, xai xwdpog, ml uùypag y Extrait5
ni bêtes féroces. De plus, cette con- «ai âvo^pog,mî u£uKég êçi % %wp^. d'hero-
trée n'eft arrofée par aucun fleuve, * * * * Ourw jxèv /xi%p; rîjç Tp/rww- DOte.
& la pluye ne l'humedle jamais; elle dog Kfavyg &v AJyvx-ps No/xafoî ei<ri
eft deftituée de puits, & en un mot npso<pdyoi te miyciKciKro%6rai Afêveg.
aride & fans eau. ——— Ainfi les LA* * To Sè xpbç 'hisé$% rîjs TpTwfàty
bycns qui habitent le païs entre VE- Kl^v/jç ûndn NoitASss dv\ Afêvsg- * *
gypte & le Lac Triton vivent de leur (p. 282.) To Sè %pk sEwp^f rS Tp/-
bétail, & fe nourùTent de la chair tuvoç xot^b, Ava-éwj ezovrai upary-

des animaux & de lait. -Mais p<?£ .'^s A'&jsç, jwji o/a/ac vc^ovre;

les Libyens qui demeurent à l'Occi- B sHr^aùui, to?c7 svo.aa aisrau; Mafcuss*
dent du Lac Triton ne font plus dans * (p. 283.) M«£umv Atëvuv Zxvq~

le goût des troupeaux. - Au um^»rm* '^^rm^è'Zpyfnec.^o^

Couchant du fleuve Triton, ces Aufes rai, èu tcSm [xsKi piv toMôv ^éharceti
confinent avec une efpece de Libyens ue&rspyecÇGVTzi, toKK^ S1 'ça %hêov kir
qui font métier de labourer la terre, ysTtu S^xiBpyèg Stôpaç votêeiv* * K#-
& qui habitent des maifons : on leur a 7" T'^Q $è Kéy^Kupz^ovtoi nssaùui

donné le nom de Maxyes. - Les vî^o-ov t# ëvo^et efrtu Kvpzviv jj^oq

Libyens Maxyes ont pour voifms les Pfv Siwoaïtav çetàïuv 7 xtâroç U qsi-

Zauèches, - & ceux-ci les Zy- wbî hutetrov en t%$ eA««'«y

gantes. Le païs de ces derniers abon-C rs psçw nzs â^éhuv. * * *
de en miel îauvage, mais on dit que

les habitans font encore une plus grande quantité de miel artificiel.
* • < < Les Carthaginois aflurent, que tout près de-là eft une Ifle nom-
mée Cyranis, longue de deux-cens ltades, mais peu large; qu'on y peut
paner du continent, & qu'elle eft très-fertile en huiles & en vins.

IL

EXTRAITS DE SCYLAX.

AU-delà des Hefperides eft uneD I IIO UEffVSfSSuv jtàarw içlfrê- Extraits

grande Baye qu'on appelle Syr- /\ yug, w ovojxa Evpng. (pag.46.) de Scy-

te,- dont les bords font habi- * Ils

tés parles Nafamons, qui font un peu- N«ra,afe. * * Tà dè %w Tîfc Hvpn-

ple Libyen. • La côte qui eft Soç vàpotit8<ri Afêvsç Acaro(puyoi sùvcg,

hors de cette Syrte, eft occupée jufqu'à /xs^p; rs çS^uto; tv^ç èrêpug Supr;Ja,.

l'embouchure d'une autre Syr te, par Ovroi a&itûS %p$vTxi, dry nul xor$-

Enfuite on trouve l'ifle de Bracbion.
Après les Lotophages vient Cataricbias:

cette Ifle a trois-cens ftades de longueur & un peu moins de largeur, &

n'eft

(a) Il faut lire x*rl?*tixl*t, ou^rir^iXiUs'VoyezB^charf. Gt&grapb.Sacr.p.^H*
 
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