Le charivari (11.1842)

!? ûe permet prob

Parve^

3Si0Q de mer ùlacj
aux aal pensa,,

eces de cent s0Us. „

*• — *5Ç

ne clevrait p,5 esi

■»*» 'tait&„
*<«™ q«e le
WelM«bi,u,iafc

° des ««tous, el. ,
lue vosmaiasjàvou^

' Je ne doute pas que
3er«et état de choses
t .doivent passer avant
■MM-Libre ensuite à

délices du somer.
">e, dans toute la p0é,
ans la riante conteur-,
-> etc* Sarncadez-vous,
aoins ne fermez, ni vu-

1 CHARIVARI.

M»

[EN VILAIN AIR,

s signalions l'existence
eur réclamait à grand»
e ; ce qui aonna lieu au
îarque, que s'it y avait
i publication de tuuios
[lieuses,, ladite brocliu-
ittr.

au Chant des garda,
apagnie.

eu, pensé, écrit, dans
31 le même style quel»
eurent, il nous a paru
tique brochées dans le
as aussi longues, iiiits
qu'il est dans le devoir
e luire ; quelques-unes
que liuil syllabes. Lia
étaient terminées par
; consonnance seninia-
t paru des symptômes
roire que M. Cavailac a
ure en vers,
rnier opuscule rentre,
î des morceaux ue pa-

lllra-monaroUique. k
acception iigurée; cor
s ie Citant dos gartot,
narron. C'est une b»u*
s'attacher à ce rèjsuê

.che, l'enthousiasme le
chaque phrase, sous »
la liaine contre lhjme
. il n'y a pas une«i«
ll'reaé, tempère tiel«,u
i le goût de l'arUii^1® *
u n'ont pas l'air des

t plupart des condition

uirait de la pro».^
t u'Asnieres ou M-

ur les cadres de UF"

■ taire hommage
i suivant :

•■e de ces chants,
on île la flamme
e a mon aine,
mes aocens !

istiàde U poésie *

Éliez Bâuger & C'eEArs R. du Crois5an.i; 18

larcr- d'ftuWt fit. C'c

m, ...

et m "kwâid \\'\

.. votre iomestitme
Mera \\\

lit vos Mlies t'est i

m. Curieux.