Le charivari (11.1842)

la Période iliUsh,.
l,pPrès 'e drame Patle
1,11 pour cela. ' aisil

histoire d'Une f,B
?dat)t ces tefflns d?^"
ee> et faisaient h tr°«'
deLa Guette,
' nn Mari. Oa aim B(
us brillans seil à|»
e héroïne, ni if.e.UrMt
''elle court a , mid«

habileté à man ?d'h«i

ans les fontes i' él>s-
'outes et au milieu6^'11
tombant tantôt na

«ôt au milieu'dt>
i charge avec elle '
malgré toutes cew

ie se venger un pe°c"f'

is voilà que 1? m dui>
^tiédit l'ardeur jjf
près les autres à kl ,
remords à l'idée d?"
ccombe à son tour, J
!> et en voulant défend?
^ Payés font tomber" !
des vaillantes ne s'est n
prétend M. Paul de£

; e chez nos lionnne,
iux du caractère de Mme
ien dangereux, nous ei
ils mieux que cette ma-
dhui, d'imiter les lioœ.
dans leurs sentimens et
eroine à la façon de Mme
i façon de Georges Sand
us montrent des mœurs'
loms plus pacifiques. J'ai.'
r, toujours calme,souïent
Itation des plus espagnoles
Me Quatre-Saus, sa mal-
îaïveté. Cette nouvelle est
iractère de la bourgeoisie
Sous,mais repoussé parsa
hes a quelque chose de
; d'attendrissant. Après
meurt en Don Quichotte,
en faisant prisonnier un
s d'un autre bandit qui
errière.

intitulée le Marquis è
eux réussies. Jersay croii
e d'Autriche le rôle de
istrument du prince de
.t exploitée, donne lieu'a
s intéressantes. Du reste,
volumes -, ils sont d'une
iplis de la plus spirituelle

car il faut toujours re-
er quelquefois le drame
le de Brie et Benserdc
des notices, ou plutôt ne
ces ; on dirait des pro-
un et d'Anne Boleyn est
du simple titre d'histo-

brent à l'envi les vertus,

i défunte chambre. Il î

ges débités sur une lof"

xt complète, il ne
la tombe de la défunts

:res telles que les Be
, etc., se remettent si
que ces gens-là ne s

se présente comme cai

e les électeurs ne mai
m.

suite â ia 4e page.)

faf.d'Ulitrt* C"

F roto col es .

PtHiïlQUt DES FEffiWES