Le charivari (11.1842)

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ut à ses avides ni!
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1^6 délire c'ûrv

échapper devant^
arge sa conscience et
laissant cet écrasa
ala pièce.

^ une seule sitUl.

Las d'exil et de
""gus connaît le V(sri
oute fore® purgersa
Lrc>us, enrevaaclie
>er a bon escient une'
î fatal secret qui flé.
eoat pour échapper à
sou mauvais génie,
reter Raoul au mo-
le chef du clan. Le
ible devenir inévita,
as la voie du mal en
cachot. Mais la voix
ilôt à de meilleurs
lie, il fait enlever
puissant. Cette éva-
n corps défendant,
ioncer sans remords
être exécutée, lors-
et trompant la ten-
ice du tribunal pré-
l voit à être jugé le
['Aristophane, ou le

a son rôle d'âme
iparaître une bonne
. Cette offre criini-
elée du jeune chef
lequel il s'est déjà
sur bouleverse tout
me tourmentée par
ires. Fergus plonge
; Donald, s'empoi-
i vient d'être ren-
isonge sublime, —
ère.

e rapide esquisse,
homme, noble et
illogique dans ses
, le style lui-même
i et de l'irréflexion,
lète nei l'avait pas
s vers familier de
5 couplets sonores
érieux. Égaré par
teurs, il avait eu
ice déplorable qui
iites, les chevilles,

rques; le public
rnay, il n'est plus
nos bienveillans
s rien ajouter de
; çà et là au cou-
3 rapide, ont sou-
nêrne a été écou-

; symptôme défa-

urs qu'ils ont li-
rait à leur ardeur
ile, et qu'ils riva-
avantage. Un >B'
i 4e pagt.)

IK MAI \il JlVWi WOWi.

Citez Bsaifei R. du Gï ois ? eait .Tti

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Tmp d'Aiib erL i L "

- P ay es - lu cher a ton la ô tel?
-Affreusement cher :